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Therefore put on the full armor of God,
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LES 4 ACCORDS TOLTEQUES

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NE RIEN PRENDRE PERSONNELLEMENT






LE BOUCLIER

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SITE EN COURS DE CONSTRUCTION

MERCI POUR VOTRE COMPREHENSION

« QUOI QU’IL ARRIVE N’EN FAIT PAS UNE AFFAIRE PERSONNELLE»

UN APPEL A LA MAITRISE

= MAITRISE DE L’ATTENTION

ou la MAITRISE DE LA VERITE

Ce deuxième accord concerne le cœur, l’affectif. C’est lui qui se vexe, se chagrine, se met en colère.

= MAITRISE DE LA TRANSFORMATION

Cette maîtrise correspond à ce que nous avons l’habitude d’appeler une « prise de conscience » : « La Maîtrise de l’Attention est le premier pas en direction de la liberté personnelle, car on ne peut être libre si l’on ne sait pas qui l’on est, où l’on se trouve, ni quel genre de liberté on recherche.

Dans cette maîtrise, on prend conscience du brouillard présent dans notre tête. On réalise que l’on rêve en permanence et que tous les autres.

La Maîtrise de l’Attention peut aussi être appelée « Maîtrise de la Vérité ».

 

La Maîtrise de la Transformation

Cette maîtrise correspond à la deuxième étape du processus de libération, à savoir la mise en pratique des quatre accords toltèques, afin de retrouver l’état originel (de l’enfant) et de recouvrer sa liberté d’être soi-même et sa capacité d’aimer : « La Maîtrise de la Transformation montre comment changer le rêve de sa vie. Le but de cette deuxième maîtrise est de mettre de l’ordre dans le chaos du mitote – c’est-à-dire toutes ces voix parlant dans notre tête –, de confronter nos peurs et de parvenir à des résultats. Nous voulons la liberté de vivre notre propre vie au lieu de celle du Parasite ou du système de croyances. On parvient à la Maîtrise de la Transformation en changeant ses accords et en reprogrammant son mental. Les quatre accords toltèques sont un résumé de la Maîtrise de la Transformation. »

 

 

La Maîtrise de l’Intention ou de l’Amour

Cette dernière maîtrise correspond à la phase finale et à l’aboutissement du processus de libération de l’ego. Pour les Toltèques, la vie est à la fois une énergie d’amour divine et une intention. Tout est animé d’une intention, tout est Amour et tout est divin. La maîtrise de l’amour consiste donc à se débarrasser de l’ego pour faire place à l’Amour qui ne demande qu’à couler en nous. Les quatre accords toltèques constituent un moyen simple et puissant de « déverrouiller » l’ego et de diminuer son impact sur notre vie et nos relations.

 

Un Bouclier

Le chevalier toltèque a une épée. Dans l’autre main, il porte un bouclier.

 

 

 

Ce bouclier consiste à ne pas prendre les choses personnellement.

Le bouclier = ce qui réagit en nous = le cœur =Yang =Permet de transformer la façon dont fonctionne notre cœur.

= montagnes russes permanentes, on est dans la réaction (émotionnelle) pour aller vers la fluidité, la sérénité…le non jugement…

=Celui qui fait les suppositions, c’est le mental = 3ème accord

 

Un bouclier contre les autres :

Si l’on ne prend plus personnellement les remarques des autres, leurs jugements, leurs critiques on n’est plus blessé.

 

Un bouclier contre soi, aussi :

Mais il ne s’agit pas uniquement de contrer, de parer les flèches plus ou moins empoisonnées qui nous sont tirées dessus…

Il s’agit de se protéger contre nos propres poisons, nos propres scarifications ou les auto-goals (but contre son camp, en jargon footballistique).

 

Construire un bouclier imperméable et indestructible :

On a un bouclier. Cela signifie que les mots ne pénètrent plus en nous, ne nous blessent plus…

Les mots, les pensées, les jugements et auto-jugements, obsessions ne contrarient plus. Ils ne passent plus.

Ce bouclier c’est votre ESTIME DE SOI, AMOUR DE SOI, RESPECT DE SOI.

Mais attention, c’est un bouclier mais pas une armure et encore moins un scaphandre.

  • Il ne s’agit pas de se foutre de tout = autisme psychologique

  • En se blindant on risque de se couper des relations avec l’autre

  • On risque de rentrer dans une bulle catastrophique…

  • Ne posséder qu’un bouclier de 30 cm d’épaisseur mais pas d’épée

  • Ou avoir qu’une épée (critique des autres mais vite vexé) et pas de bouclier

Comment faites-vous lorsqu’on vous critique ?

1/Certains psychologues disent qu’il faut utiliser le bouclier de l’humour.

Grossir l’objet clé de la critique.

« Vous avez un grand nez »… « Ce n’est pas un nez que j’ai mais un cap, que dis-je une péninsule…. »

 

2/ Le bouclier de la liberté intérieure.

Imaginez tout ce que vous faites ou ne faites pas à cause de ce que vont dire les gens.

On va jusqu’à s’obliger à faire ce qu’on ne veut à cause de la peur du regard critique des autres.

Nous sommes sous la tyrannie de la vision d’autrui. Pour ne plus en souffrir il faut s’en libérer.

Ce bouclier nous vaccine contre cette tyrannie et nous invite à retrouver notre liberté, casser nos schémas et nos chaînes limitantes et traumatiques.

Ainsi on va se sentir recentré et serein et on coupe les critiques des autres= retour du boomerang.

 

 

3/ Un bouclier contre son jugement intérieur

Ce bouclier du second accord va me permettre de cesser de m’auto-juger avec des idées du genre : « je suis nul, je suis un mauvais père, une mauvaise professionnelle, penser que je ne vaux rien, que je ne mérite pas… »

Q2/ Méritez-vous d’exister ?

Q3/ Méritez-vous le bonheur ?

C’est donc l’occasion de faire son travail de guérison intérieure, en se débarrassant de ces croyances à 2 balles qui font qu’on continue à se juger, à se limiter et à être en guerre contre soi.

Il s’agit de retrouver l’intégrité de notre bouclier.

DES TROUS DANS LE BOUCLIER

Ce deuxième accord concerne le cœur, l’affectif.  Pour être touché par les « flèches » tirées par d’autres, il faut que :

1/ soit que notre bouclier a de « gros trous » ou défauts de structures

2/ soit que nous n’ayons pas de bouclier

 

A/ Un bouclier avec « défauts struturels »

A quoi peut bien servir un bouclier en papier ou en carton face à  de vraies armes?

A quoi servira un bouclier plein de trous lorsqu’un projectile nous vise ?

Comme nous allons le voir, une personne mal protéger va :

  • se vexer

  • être susceptible

  • se mettre en colère

  • avoir du chagrin, de la tristesse, voire se sentir en détresse…

Cela arrive lorsque nous nous mettons plus ou moins, volontairement et inconsciemment, au centre de la vie de l’autre. Cela s’appelle l’égocentrisme.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1/ Etre susceptible

Q/ Qu’est-ce que la susceptibilité ?

C’est un mélange malsain de sensibilité (une qualité fantastique) et d’ego (un poison). L’ego pollue la sensibilité.

 

Q/ Que signifie « prendre les choses de façon personnelle », donc « être susceptible » ?

Cela veut dire que nous nous sentons visés personnellement par les paroles ou le comportement de l’autre.

Autrement dit, nous prêtons à l’autre une intention négative à notre égard.

"La susceptibilité est une manière maladroite de vouloir attirer l'attention"

 

Prendre la mouche à la moindre réflexion, faire preuve d'une susceptibilité exacerbée à chaque remarque indélicate peut être difficile à vivre au quotidien.

Ce sont des petits riens qui peuvent lui miner durablement le moral.

Exemple :

Marion, 31 ans, est sensible aux plus anecdotiques des réflexions de ses collègues ou de ses proches.

"Je suis très émotive, un rien me bouleverse, me vexe, me blesse, avoue-t-elle. Si mon conjoint ne m'embrasse pas avant de partir le matin, je le prends mal, j'ai presque l'impression qu'il ne m'aime plus. Si une copine tarde à répondre à l'un de mes textos, idem ».

Cette personne ne se contente pas de faire de la moindre réaction un affront: elle est à l'affût, prête à monter en épingle la plus petite contrariété.

"Je me sens constamment visée, persuadée que souvent les gens cherchent à me rabaisser. Tout est bon pour apporter du grain à moudre à ma susceptibilité même si j'ai consciente que cette irritabilité permanente est épuisante pour mes proches."

 

"Apporter du grain à moudre à sa susceptibilité" :

Et Marion ne se contente pas de faire de la moindre réaction un affront: elle est à l'affût, prête à monter en épingle la plus petite contrariété. "Je me sens constamment visée, persuadée que souvent les gens cherchent à me rabaisser. Tout est bon pour apporter du grain à moudre à ma susceptibilité même si j'ai consciente que cette irritabilité permanente est épuisante pour mes proches."

 

Conséquence de cette tendance, une personne susceptible se remet en question en permanence. Convaincue que rien n'est jamais acquis, elle se laisser désarçonner par la remarque la plus anodine.

Une personne susceptible se vexe très facilement car elle essaie constamment d’ajuster son curseur personnel sur l’image que les autres lui renvoient.

En découle un manque de confiance en soi et des difficultés à vivre :

  • Avec soi = on est malheureux, toujours sur le qui-vive,…

= dévaluation de son image résiduelle (image négative)…et perte d’estime de soi…

 

  • Pour les autres qui doivent marcher sur des œufs afin d’éviter bouderie, agressivité, incompréhension

 

Cette image fragile découle soit du fait d'avoir été surestimé dans l'enfance, soit au contraire très peu valorisé. En résulte une sensibilité aiguë, qui pousse à tout prendre avec une intensité particulièrement dramatique.

 

La susceptibilité conduit alors souvent à des interprétations erronées, à attribuer aux autres des pensées qu'ils n'ont pas. Cette mauvaise lecture relève de la distorsion cognitive et peut aller jusqu'à une forme de paranoïa, chez les gens hyper-susceptibles.

De quoi gâcher la vie de ceux qui démarrent au quart de tour. "La susceptibilité est en réalité une manière particulièrement maladroite, un peu immature, de vouloir attirer l'attention.

En boudant, on attend d'être deviné, compris et surtout que l'on fasse un pas vers nous.

Malheureusement, on a plutôt tendance à être agacé par la susceptibilité de nos proches.

 

 

2/ La colère

Q/ Qu’est-ce que la colère ?

La colère fait partie des 6 émotions de base :

  • joie.

  • tristesse.

  • colère.

  • dégoût.

  • peur.

  • surprise.

En psychologie, la colère est donc considérée comme une émotion, liée à une blessure physique ou psychique, un manque, une frustration et se caractérise généralement par une réaction vive entraînant des manifestations physiques ou psychologiques de la part de la personne concernée.

La colère est un signal d'alarme qui traduit une insatisfaction. Son utilité première est de nous aider à nous faire respecter. Elle est souvent accompagnée de réactions physiques soudaines : augmentation du rythme cardiaque, tension musculaire…

On est prêt à se défendre, à défendre les nôtres et notre territoire.

 

Q/ Imaginons.  Vous êtes paisiblement en voiture, entrain de rouler sur une autoroute quand soudainement un autre automobiliste  vous fait une queue de poisson, puis vous le voyer faire du gymkhana entre d’autres voitures, à toute vitesse et disparaitre.

Que pensez-vous de cet automobiliste, sur le moment ?

La plupart des gens diront que c’est un chauffard lamentable.

==èMais vous êtes-vous posés la question si c’était peut être quelqu’un qui amenait d’urgence une personne à l’hôpital !

 

 

 

 

3/ Le chagrin

Le chagrin peut être une émotion, un sentiment, ou encore une sensation.

Le chagrin est plus « intense » que la tristesse, car il implique un état à long terme.

 Le chagrin peut exprimer un degré de résignation et se dit être à mi-chemin entre la tristesse (acceptation) et la détresse (inacceptation).

 

B/ Ne pas porter de bouclier

Porter un bouclier c’est porter en bandoulière son ESTIME DE SOI,  son AMOUR DE SOI, son RESPECT DE SOI.

Ne pas avoir de bouclier expose la personne à tous les projectiles conscients ou inconscients qui lui sont envoyés.

Elle n’a plus filtre pour la protéger contre les remarques, moqueries, ragots, attaques etc… et toute son estime personnelle (son armure) est constellée de blessures plus ou moins graves, psychologiques ou  physiques.

Les mots, les pensées, les jugements et auto-jugements la contrarient.

 

 

 

 

 

C/ Ne porter qu’un bouclier et pas d’épée

Troisième cas de figure :

Ici, la personne arrive à se protéger de tout. Plus rien ne passe. Elle se coupe de ses émotions et des autres et en arrive à se foutre de tout, à ne plus être concernée par rien !

Cela devient de l’autisme psychologique. L’épée ne lui sert plus à rien.

Au fur et à mesure ce bouclier va s’épaissir. Et plus il devient épais moins il est en contact avec les autres et la réalité.

Il devient un refuge, une bulle, d’isolement, voire un scaphandre, une vielle armure toute rouillée.

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