LES 4 ACCORDS TOLTEQUES
LA PAROLE DU CHEVALIER TOLTEQUE:
L'EPEE
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MERCI POUR VOTRE COMPREHENSION
Ce premier accord est le plus important de tous car tous les autres vont dépendre de ce dernier.
QUEL CHEVALIER ETES-VOUS ?
1/Une Société qui perd ses valeurs humaines et qui se cherche
Où va notre monde ? Que veut-on y transmettre ou y laisser comme trace ?
La plupart d’entre-nous ressentons comme un vide car nous avons le sentiment que les valeurs humaines se perdent, que les vertus sont dépassées et que nos vies se résument au « do-métro-boulot », à la compétition et au football, mac Do…
Il existe une voie… Redevenir ou devenir un chevalier. Mais quel chevalier ?
Un chevalier blanc CONSCIENT (vertueux, lumineux) ou l’obscure, aux valeurs inversées, INCONSCIENT ?
===èStalactite ou stalagmite ?
L’épée du chevalier Toltèque
c’est sa parole
Quel est l’attirail d’un chevalier ? En premier lieu, il n’y a pas de chevalier sans son épée.
Avec une épée, le chevalier peut défendre la veuve et l’orphelin. Il peut protéger ce qui lui est cher.
Joyeuse est le nom de l’épée personnelle de Charlemagne.
Escalibur est le nom de l’épée magique du Roi Arthur.
Célèbre épée du chevalier Roland, Durandal est une autre lame légendaire. Elle serait plantée sur les hauteurs de Notre Dame de Rocamadour où elle est visible encore aujourd’hui.
L’Académie Française et la symbolique de l’épée :
On a beau savoir que cette épée ne sert pas, elle a quand même une poignée et une lame. Elle communique à l’académicien un je ne sais quoi de militaire, de chevaleresque, de romantique, dont il a besoin pour compenser la banalité et le prosaïsme des pardessus, des foulards et des cache-nez.
Pourquoi les académiciens ont-ils une épée ?
C’est, apparemment, parce qu’à l’époque où fut adopté leur costume il n’était pas d’uniforme officiel sans épée. Traditionnellement la poignée de l’épée porte les symboles représentant la vie et l’œuvre du futur académicien. Son épée, emblème de sa personnalité, est généralement offerte au nouvel académicien par ses amis et admirateurs grâce à l’ouverture d’une souscription (Comité de l’épée), au cours d’une cérémonie qui précède la réception officielle. Elle revient à la famille lors du décès de ce dernier.
A moins que cette arme n’ait un sens symbolique et ne signifie que l’élite intellectuelle littéraire et scientifique de la France doit pourfendre sur la route du progrès, avec l’épée de la pensée, l’obscurantisme malfaisant !
=è Cette épée est donc une puissance à notre disposition qui sert à Protéger et à Défendre, voire à Adouber.
Epée
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= verbe, parole
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= Esprit
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= Ying
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= outil pour travailler avec la puissance spirituelle
Mais avec une épée on peut aussi blesser, tuer, on peut aussi abimer, se couper, s’éventrer (harakiri)…
Avec la parole, c’est la même chose !
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Ainsi avec la parole on peut éclairer, exprimer ses sentiments, ses émotions, apporter plus de sagesse, on peut favoriser la compréhension entre les gens, réciter de la poésie, narrer des compte, faire rêver….
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Mais on peut aussi avec la parole semer la discorde, la zizanie, provoquer des guerres, propager des potins, des ragots, des calomnies, salir, abimer voire même rendre malade (sort de magie) ou tuer….qu’avec des simples mots, des sons projetés.
La parole est donc le don créateur qui nous a été donné. C’est lié à la dimension spirituelle.
Jean : « Au commencement était le verbe, le verbe était avec Dieu et le verbe était Dieu. Toutes choses ont été faites par Lui et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans lui ».
Donc la parole est une puissance qui nous a été donné à nous humain.
Il faut bien se rendre compte de la puissance de la parole.
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Qu’en fait-on de cette épée ?
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Comment l’utilise-t-on ? Pour défendre et protéger ou pour abimer et faire du mal ?
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A-t-on conscience de cette puissance ?
IMPECCABLE
Ainsi le premier accord toltèque stipule : « Que ta parole soit impeccable ».
Impeccable signifie étymologiquement : « Qui ne pèche pas » du latin « in » = sans + « peccare » = « commettre une faute contre la loi divine ».
Cela signifie : « Rater sa cible, sans défaut, qui ne peut faillir », parfait…
Q2/ Qu’est-ce qu’une parole impeccable ?
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C’est déjà une parole qui ne va pas se retourner contre soi (effet boomerang)
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C’est une parole qui ne va pas causer de tort, ni à autrui ni à nous.
==è En effet, si nous disons des choses désagréable sur autrui, on le sali, on colporte des médisances…tôt ou tard par un effet boomerang, ou un effet de résonnance cela va nous revenir à la figure et nous faire du tort.
Le Mot est un poème de Victor Hugo, paru en 1888 dans le recueil posthume « Toute la Lyre ».
LES 3 SŒURS :
CALOMNIE, MEDISANCE SOCIALE & RUMEUR
Cela paraît anodin de lâcher une petite calomnie, « il paraît que…, tu ne sais pas que… »
A chaque fois, comme une boule que l’on roule dans la neige, la calomnie grandit, gonfle….
Comme une toile d’araignée composée de centaines de petits fils de soie reliés les uns aux autres.
===èLa calomnie est comme cette toile, de plus en plus gluante. Nous tissons ou participons inconsciemment au tricotage de cette toile à chaque fois que nous créons ou propageons une rumeur.
On peut tuer des gens, les rendre malade, on coule des entreprises avec de simples rumeurs.
===èLa Bourse, par exemple, monte et descend en fonction de rumeurs parfois. Fortunes et faillites sont les conséquences de ces simples rumeurs.
Rumeurs
Aujourd'hui, la rumeur est partout : dans les médias, sur Internet, dans les couloirs, les conversations. Qu'on l'appelle rumeur, buzz ou encore légende urbaine, (aujourd’hui théorie du complot) elle imprègne tous les secteurs de la vie quotidienne, l'économique, le social, la politique, le show-business, le marketing, le lobbying, la finance...
Jean-Noël Kapferer, Rumeurs - Le plus vieux média du monde
Les 3 sœurs = Médisances sociales, calomnies et rumeurs sont des poisons sociaux causant beaucoup de dégâts d’où l’importance de devenir une impasse à rumeur.
1/ Agir comme un anti-virus
Q3/ Comment mettre fin à ces « 3 sœurs » ou comment lutter contre le mauvais usage de la parole ?
==è La rumeur vient jusqu’à moi mais je ne vais pas être un vecteur de transmission de cette calomnie…
JE SUIS L’ANTI VIRUS car en conscience je ne vais pas et ne veut plus jouer à ce jeu-là.
Conséquence :
Les autres vecteurs transmetteurs ne viendront plus colporter les 3 sœurs puisque vous ne jouez plus le jeu car CELA NE VOUS INTERESSE PLUS OU PAS.
Avoir une parole impeccable, consciente, chevaleresque, juste avec cet accord on peut changer toute sa vie.
= Couper la toile et ne pas participer à la transmission du « virus ».
2/La parole est d'argent et le silence est d'or ...
èIl est parfois préférable de se taire plutôt que de parler, de médire, de calomnier ou propager une rumeur.
èLa parole ne représente parfois qu'une manière, plus adroite que le silence, de se taire.
èLe silence est un hommage que la parole rend à l'esprit. Louis Lavelle
3/ Réfléchir avant de répondre ou de parler
===è Utiliser son filtre des 3 passoirs selon « Platon »
« – Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami ?
– Un instant. Avant que tu ne m’en dises plus, j’aimerais te faire passer le test des trois passoires.
– Les trois passoires ?!
– Mais oui, reprit Socrate. C’est ma façon à moi d’analyser ce que j’ai à dire et ce qu’on me dit. Tu vas comprendre… La première passoire est celle de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?
– Non. J’en ai simplement entendu parler…
– Très bien. Tu ne sais donc pas si c’est la vérité.
– (…)
– Alors passons à la deuxième passoire : ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ?
– Ah non ! Au contraire.
– Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es pas certain qu’elles soient vraies.
– Euh…
– Pour finir, et c’est ma troisième passoire, est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?
– Utile, non, pas vraiment.
– Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bien, ni utile, à quoi bon m’en parler ? »
Q5/ Est-ce qu’avoir une parole impeccable ce n’est que la façon dont je parle autres ?
èC’est aussi la façon dont je me parle… Ce sont ces monologues internes.
èCe sont aussi les paroles que je mets dans la bouche des autres lorsque je dialogue dans ma tête ?
« Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, Il y a au moins dix possibilités (mais en réflexion pour la dixième…) de ne pas se comprendre. Mais, essayons quand même ».
Bernard Werber
===è Ne jamais répondre à « CHAUD » = faire appel à notre INTELLIGENCE EMOTIONNELLE
D’abord, constatons que si nous avons été atteint par une flèche, c’est que notre bouclier n’a pas été à la hauteur. Il est plein de « trous ».
Ensuite, toute attaque entraîne normalement une contre-attaque.
Or, il convient de ne jamais répondre à chaud, c’est-à-dire aussitôt que la flèche nous a touché.
Exemple :
Imaginons que nous tenons de la pâte à modeler chaude, dans notre main. Ou de la cire chaude. L’un comme l’autre ne peuvent être remodelés et on va se brûler.
Ainsi l’émotion que suscite une « attaque » IMPLIQUE UNE REACTION.
Donc, méfions-nous de nos réactions car ce n’est pas être intelligeant avec nos émotions.
Q/ Que faire alors si je ne dois pas répondre à chaud ?
Au bout de 4 à 5 minutes, l’émotion va aller du cerveau reptilien (réaction chaude en temps réel et instinctive) vers la zone préfrontale.
Dans cette zone, la réaction se fera à température tiède.
Mais attention, cette émotion ne peut pas rester plus de 21 jours à croupir dans cette zone préfrontale.
Comme pour un vase rempli de fleurs, l’eau va croupir et finir par sentir mauvais. Il convient donc de vider l’eau du vase avec le 21ème jour. C’est une question d’hygiène.
====èEn fait l’intelligence émotionnelle est de l’hygiène énergétique. Et il convient donc que la goutte d’eau ne fasse déborder le vase car à force de ne pas avoir nettoyé cette zone de transit, la moindre remarque de quelqu’un peut nous faire PETER LES PLOMBS
6/ Parlez avec intégrité L’intégrité, Authenticité
=Exprimer ses idées avec franchise, assertivité.
Etre franc =C’est le contraire de l’hypocrisie, qui consiste à mentir, tricher ou faire semblant d’être d’accord avec quelqu’un pour en obtenir un avantage particulier. La franchise consiste donc à ne pas cacher ou travestir ses idées pour des raisons « crapuleuses ».
L’assertivité est l’art de s’affirmer sans agresser les autres. Elle englobe la franchise et l’authenticité, mais elle comporte d’autres volets, comme la demande et le refus.
Vos désirs (non exprimés) ne disparaissent pas, ils se transforment en attentes, qui sont presque toujours frustrées. Alors, ils deviennent des reproches (envers l’autre) et des regrets (pour vous) : c’est la double peine ! Sans compter la dévalorisation de l’un (qui n’a pas osé demander) et de l’autre (qui n’a pas entendu la demande... non exprimée.
Ne pas oser refuser et dire « NON » clairement revient au même : vous pensez « NON » mais vous dites « OUI », en croyant pouvoir faire semblant ou « prendre sur vous ».
Le manque d’assertivité repose sur un manque de confiance en soi, mais aussi sur une confusion et une omniprésence du Parasite (l’ego).
Il est toujours important d’exprimer ses besoins
7/ Parler avec bienveillance sur les bases de la CNV
La CNV c’est : « Dire ce que j’observe, ressens et désire et ce que je demande pour mon mieux être. Entendre ce que tu observes, ressens et désires et ce que tu demandes pour ton mieux être »
Girafe ou chacal ?
La girafe :
La girafe voit,
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le problème de haut, du fait de son long cou et de ses longues pattes (4à 6m)
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à 360°, à cause du positionnement de ses yeux
La girafe a aussi le plus gros cœur de tous les animaux terrestres (11 à 16 kg).
En société, la girafe vit avec ses congénères avec bienveillance. Quand une boit, moment le plus vulnérable dans la savane, les autres girafes font un demi-cercle pour la protéger.
En cas d’attaque d’un lion, la girafe est capable de donner des coups de sabots pouvant assommer ou tuer son prédateur = elle utilise la force pour protéger la vie.
La chacal :
Il nous arrive d’avoir une attitude de chacal c’est-à-dire :
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de ne pas avoir une vision en hauteur
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ni à 360°
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le cœur bien blindé
Car le chacal vit au raz des herbes, il ne voit donc pas plus loin que le bout de sa truffe.
C’est un animal qui vit en survie, en permanence aux aguets, dans l’urgence et dans la souffrance.
Ensemble, les chacals n’hésitent pas à se bagarrer, à s’entretuer pour une question de nourriture. Quand le vieux chef commence à montrer des signes de faiblesse, le jeune chacal va le tuer et le manger.
Le chacal nous montre qu’il nous arrive d’être dans des relations de conflits, de survie et de souffrance. Ici, on souffre, on crie, on hurle.
Les oreilles « chacal » et les oreilles « girafe »
A/ Les situations de souffrances :
1/Si l’on met des oreilles « chacal » au chacal, tournées vers l’avant, vers l’extérieur :
====è Cela signifie qu’il est prêt à « aboyer » et en veut au monde entier. Il en a ras le bol de tout, pas de solution, il en marre de tout….
2/Si l’on met des oreilles « chacal » au chacal, tournées vers l’intérieur :
====è Cela signifie que l’on est toujours dans son chacal mais qu’on s’en veut à soi.
=Je n’arrive pas à produire ce que l’on m’a demandé, je suis stressé, énervé, à bout mais je ne le montre pas.
=J’avale ma colère, mon inconfort, mes doutes et je vis rétrécie, petit, coincé et je tombe malade, burnout etc…
3/Si l’on met des oreilles « chacal » au chacal, l’une tournée vers l’avant, l’autre vers l’intérieur :
===è ici, j’en veux à l’intérieur et j’en veux à l’extérieur et je tourne en rond, en incapacité de sortir de cet état de survie, de souffrance ou d’inquiétude.
B/ Les solutions :
=Si on des oreilles de « girafe » au chacal = Il s’agit ici de transformer nos souffrances, nos états de colères en faisant en sorte que cela ne crée plus de problèmes en nous.
4/ Si on des oreilles de « girafe » au chacal côté intérieur
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Ici le chacal réalise qu’il est en train de s’empoisonner la vie.
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Dans un premier temps, le chacal va écouter ses colères, ses inconforts, ses souffrances, ses non-dits.
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Dans un second temps, il va descendre d’un étage et va regarder qu’est-ce que cela fait chez lui, qu’est-ce qu’il ressent quand il est en colère, énervé, à bout, fatigué, déprimé.
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=il va prendre conscience de cet état, que les mots qu’il utilise l’amène dans cet état…
Le but est de relier l’état émotionnel à un besoin et de l’exprimer.
Je suis déprimé et j’ai besoin de me soigner
Je suis fatigué et j’ai besoin de me reposer
=Il y a là un mouvement qui transforme notre système de croyance et qui transforme nos réflexions, sans cesse alimenté par des jugements et des commentaires nocifs en une capacité à nous relier à ce qui est vivant à l’intérieur de nous.
Il faut donc ensuite relier le besoin au verbe
=Je suis déprimé, j’ai besoin de me soigner, j’ai besoin d’en parler pour en sortir.
= mouvement à l’intérieur de nous qui fait que le chacal va pouvoir retourner l’orientation de ses oreilles vers l’extérieur.
5/ Si on des oreilles de « girafe » au chacal tourné vers l’extérieur
Le chacal est maintenant capable d’exprimer son état.
« Quand tu me parles de cette façon-là, je suis énervé. Et j’ai besoin comment toi et moi nous pouvons faire pour être autrement….»
=Le chacal reprend sa responsabilité pour pouvoir transformer ce qui est en train d’arriver d’une façon bienveillante, en tenant compte de l’autre.