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LES SECRETS DE LA LA VITAMINE C

ACIDE L-ASCORBIQUE OU ACIDE LIPOSOMAL

QU'EST-CE QU'UNE VITAMINE ?

   Les vitamines font partie des cofacteurs et des coenzymes qui permettent à un grand nombre de processus vitaux pour nos cellules de se produire : production d’énergie, création des globules rouges, maintien du système immunitaire, fonction hormonale et fonctionnement normal du système nerveux, élaboration du collagène, santé des phanères (ongles cheveux et tissus contenant de la kératine), santé de la dentition, entretien et fonctionnement de la masse musculaire, gestion des processus inflammatoires et encore beaucoup d’autres…

 

D’un point de vue étymologique, une vitamine est composée d’un terme latin « vita » qui fait référence à la vie et qui souligne son caractère indispensable, ainsi que du terme « amine » qui indique la fonction biologique des amines.  

Les vitamines seront classées en deux catégories, les hydrosolubles qui sont solubles dans l’eau et les liposolubles, des vitamines solubles dans les graisses. 

 

L’industrialisation forcenée de l’agriculture, l’emploi systématique de pesticides et autres produits néfastes à la qualité de nos aliments n’ont eu de cesse que d’appauvrir notre alimentation, nous apportant parfois plus de composants chimiques néfastes à notre santé que de nutriments essentiels. Certains fruits issus de manipulation génétique (pomme, tomate...) ont perdu la quasi totalité de leurs vitamines et nutriments.  D'où la baisse, pour certain, de notre immunité et de notre niveau de santé.

PORTRAIT DE LA VITAMINE C

   Au cours de l’évolution, l’homme a perdu, il y a environ 40 millions d’années selon certains spécialistes, sa capacité à produire de la vitamine C, suite certainement à une mutation génétique. Il y a environ 40 millions d’années, à l’époque où nos ancêtres vivaient près de l’équateur dans une abondance de fruits riches en vitamine C qu’ils consommaient à longueur de journée. Leurs apports en vitamine C étaient donc élevés et il n’y avait plus de nécessité pour l’organisme de gaspiller de l’énergie en synthétisant cette substance abondante. Le gène activant l’enzyme (la L-gulono-gamma-lactone oxydase) qui  transforme le glucose en acide ascorbique (le nom chimique de la vitamine C) s’est donc mis en sommeil. Depuis cette époque, nous sommes donc dépendants des apports alimentaires en vitamine C. Le gène non fonctionnel de cet enzyme existe d’ailleurs toujours chez l’Homme et a été retrouvé : il se situe sur le chromosome 8 à l’emplacement p21 (1, 2). Très peu de mammifères partagent avec nous cette caractéristique.Désormais, toute la vitamine C dont l’organisme a besoin doit provenir de l’alimentation, dont l'excès est éliminé dans les urines.

Une carence profonde et durable de cette dernière entraine le scorbut, qui est une maladie très ancienne que l'on retrouvait sur les navires et dans les prisons.

Aujourd'hui, cette maladie est fréquente chez les populations qui ne consomment aucun fruit ni légume frais et non cuit, notamment les personnes âgées.

Image de Noah Buscher
La vitamine C est vitale

Pour être efficace, la consommation de vitamine C doit être régulière et se faire dans la durée.

   La vitamine C est présente dans de nombreux fruits et légumes mais cette vitamine est très fragile. Elle est très sensible à l’eau, à l’air (elle disparaît au cours du stockage des aliments par exemple), à la lumière et à la chaleur, la cuisson la détruisant.

On la trouve essentiellement dans les végétaux, fruits et légumes frais :

- Les fruits frais : particulièrement les agrumes tels que l’orange, le citron, le pamplemousse, la mandarine ... mais aussi les fruits rouges : la fraise, la framboise, le cassis, la groseille, la cerise ... et la mangue, la goyave, le kiwi, le melon, l’abricot. Parmi les fruits courants, les plus riches en vitamines C sont la cerise acérola et le kiwi.

- Les légumes frais : les légumes verts tels que les épinards, le cresson, le persil, les haricots verts, les petits pois… la tomate, le poivron rouge et vert, l’asperge, l’aubergine, le navet, le poireau, le radis, l’oignon, l’artichaut ... et les différentes variétés de choux : chou-fleur, choux de Bruxelles, chou vert, brocoli.

- Les pommes de terre.

- Les graines, mais uniquement si elles sont germées.

La vitamine C est présente en moindre quantité dans les aliments d’origine animale : les abats (foie), la viande (bœuf, porc), la volaille (canard), le poisson (saumon, thon,…), les crustacés (huîtres), le lait…

                                                             Aliment Teneur en vitamine C pour 100g ou une unité

Acérola (100g)   1000 mg

Cynorrhodon ou baie d’églantier (100g)   750 mg

Argousier (100g)   700 mg

Goyave (100g)   200 mg

Cassis (100g)   200 mg

Poivron rouge (100g)   190 mg

Persil (100g)   170 mg

Jus d’orange (250ml)   100 mg

Orange (1)   95 mg

Poivron vert (100g)    90 mg

Citron (1)   85 mg

Brocolis cuits (100g)   75 mg

Chou-fleur (100g)   60 mg

Choux de Bruxelles cuits (100g)   60 mg

Fraises (100g)   55 mg

Kiwi (1)   55 mg

Cresson (100g)   55 mg

Épinards cuits (100g)   51 mg

Asperges (100g)   33 mg

Foie de veau (100g)  32 mg

Petits pois frais (100g)   27 mg

Melon (100g)  25 mg

Tomate (1)  23 mg

Pommes de terre (100g)   20 mg

Haricots verts (100g)   19 mg

Poireau (100g)  18 mg

Abricot (100g)  10mg

Artichaut (100g)  9 mg

Pomme (1 grosse)   7,5 mg

Potiron (100g)  7 mg

Comté (30g)  5 mg

Yaourt (100g)  2 mg

Image de Nico Mksmc

Les apports journaliers recommandés en vitamine C sont de 60mg pour un adulte, mais ces apports peuvent être largement augmentés. 1 gr de vitamine C est une bonne dose pour un sportif, et en cas de maladie, 10 à 20 gr par jour peuvent être utilisés pour guérir plus vite.

    La dose   est augmentée à 100mg/jour pour un fumeur car on considère qu’une seule cigarette peut consommer jusqu'à 25% des apports quotidiens recommandés.


Les besoins en acide ascorbique sont augmentés de manière importante chez les sportifs.
De même, il est recommandé d’augmenter les apports (par l’alimentation et la supplémentation) à 500mg, voire 1gr/ jour, chez un adulte (250 à 500 mg/ jour chez un enfant), au cours d’infections, de stress ou de fatigue physique et intellectuelle, mais aussi en période de refroidissement, de manière préventive.

Augmenter la dose de vitamine C peut vous aider à éviter les petites maladies de l'hiver.

 

               Age / Etat apport journalier recommandé en vitamine C

De la naissance à 1an                         30 à 35 mg

De 1 à 3 ans                                        40 à 45 mg

De 3 ans à 15 ans                               45 à 60 mg

Femmes                                                       60 mg

Hommes                                                      60 mg

Femmes enceintes                                      80 mg

Femmes allaitant                                         95 mg

Fumeurs                                          100 à 200 mg

Sportifs                                          800 à 1000 mg

 

                                                                

                                                                      Se soigner avec la vitamine C :

En cas de maladie bénigne, utiliser la vitamine C à haute dose (10 à 20gr/ jour pendant quelques jours) peut aider l’organisme à faire disparaître cette maladie plus rapidement.

L’idée est d’arriver à la dose de tolérance / saturation du corps, c’est-à-dire à la dose maximale d'acide ascorbique qu’il peut absorber sans désagrément.

Pour cela, on augmente le dosage jusqu’à avoir pour effet indésirable des selles liquides, signe que le corps est à saturation. Puis on diminue la dose de quelques grammes les jours suivants de manière à stopper les effets indésirables.
On obtient ainsi la dose thérapeutique maximale de vitamine C.
(sourcehttp://www.guide-vitamines.org/vitamines/vitamine-c/besoins-quotidiens-vitamine-c.html ).

PROPRIÉTÉS DE LA VITAMINE C

Image de Nico Mksmc

   La vitamine C, aussi nommée acide ascorbique est principalement connue pour son action anti-fatigue et tonifiante, mais ses propriétés sont multiples. Elle a un rôle sur l'assimilation du calcium et du fer, mais aussi pour lutter contre les petites maladies, ...

C'est un anti-oxydant qui a la particularité d'un anti-oxydant qui fait "don" de ses électrons afin de protéger et renforcer la matrice, c'est-à-dire notre corps, notre organisme qui a reçu un stresse oxydatif  entrainant cette perte d'électrons et permettant potentiellement la venue d'infections. Prise assez tôt, elle inverse le processus de la maladie.



Ci-après la longue liste des rôles et actions de la vitamine C :

- La vitamine C a une action anti-oxydante propre lui permettant de neutraliser les radicaux libres responsables du vieillissement cellulaire. De plus, elle a une action sur la régénération de la vitamine E, principal antioxydant de notre organisme. Leur association permet donc de mieux lutter contre le vieillissement prématuré de nos cellules.

- Elle contribue au renforcement du système immunitaire :

- Elle stimule les défenses de l’organisme vis-à-vis des infections microbiennes de part son action sur la synthèse des anticorps et sa présence dans les globules blancs.

- L'acide ascorbique possède également un effet antiviral en favorisant la synthèse de l’interféron, ce qui lui permet de combattre certains cancers et leucémies et de lutter contre les problèmes d’arthrose, de goutte, de rhumatisme, d’asthme, d’allergies, d’ulcères, de diabète, de troubles de la grossesse, de parturition, d’autisme, de schizophrénie… et autres maladies graves.

- Elle joue un rôle dans la fabrication des globules rouges.

- La vitamine C favorise l’absorption digestive et l’utilisation du fer, ce qui contribue à accélérer la formation des globules rouges et donc de diminuer les risques d’anémie.

- Elle joue un rôle dans les réactions d’hydroxylation pour la formation de presque tous les tissus conjonctifs.

- Elle est nécessaire à la conversion de l’acide folique ou vitamine B9 en sa forme active, à celle du tryptophane en sérotonine et à celle du cholestérol en sels biliaires.

- Chez l’enfant, l'acide ascorbique intervient dans le métabolisme intermédiaire de la proline, de l’adrénaline, de la tyrosine et des stéroïdes surrénaliens.


- La vitamine C favorise la formation du collagène, protéine indispensable à la construction et la restauration des tissus tels que la peau, le cartilage, l’os, les dents, le muscle, les vaisseaux sanguins…. retardant ainsi leur vieillissement.

- L'acide ascorbique intervient dans la synthèse de la noradrénaline, qui permet une meilleure réactivité aux chocs et une meilleure concentration.

- Elle intervient dans de nombreuses sécrétions hormonales, principalement corticosurrénales et hypophysaires.

- Elle joue un rôle dans la synthèse des acides nucléiques.

- Elle intervient dans le métabolisme des lipides.

- La vitamine C favorise l’assimilation et la fixation du calcium dans l’os.

- Elle intervient dans la respiration cellulaire en tant que transporteur d’hydrogène.

- Elle a une activité antitoxique : elle transforme les métaux lourds, les substances cancérigènes (pesticides, toxines apportées par la pollution de l’air telles que le monoxyde de carbone et le dioxyde de soufre, celles apportées par le tabagisme comme les goudrons et la nicotine,…) et les toxines diverses en sels solubles, facilement éliminables par l’organisme.

- Des études cliniques préliminaires indiquent que la vitamine C aurait des effets anti-histaminiques : elle aurait la propriété de prévenir la production d’histamine et de réduire l’inflammation.

- La vitamine C a une action tonifiante et anti-fatigue.

- Elle améliorerait la qualité du sperme et augmenterait le nombre de spermatozoïdes.

VITAMINE C ET HYPERTENSION ARTÉRIELLE:

 - L'acide ascorbique pourrait diminuer l'hypertension artérielle, selon une étude publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition.

Edgar Pete R. Miller de l'Université Johns Hopkins et ses collègues ont analysé les données de 29 essais cliniques impliquant un total de 1 400 personnes âgées de 22 à 74 ans. Elles prenaient une dose médiane (la moitié en prenant plus et l'autre en prenant moins) de 500 mg pendant 8 semaines, ce qui représente environ 6 fois la dose actuellement recommandée.

Chez les personnes ayant une tension artérielle élevée, la pression systolique (premier chiffre de la mesure) a baissé de près de 5 points et la pression diastolique (chiffre du bas) de 1,7 points. Cette diminution relativement modeste, commentent les chercheurs, peut représenter la prévention de plusieurs d'accidents vasculaires cérébraux (AVC) au niveau de la population.

En 2008:

Des chercheurs Italiens de l'université de Pise (sous la direction du Dr. Rosa Maria Bruno) sont arrivés à la même conclusion que les chercheurs américains à savoir que la vitamine C peut faire baisser la pression sanguine chez les patients hypertensifs. Il a été administré trois grammes de vitamines C par voie intraveineuse à 12 patients. Durant les 20 minutes qui suivirent l'administration de la vitamine, l'équipe de chercheurs a contrôlé minutieusement la tension, l'activité cardiaque et l'activité du SNS (Système Nerveux Sympathique) des patients.

Il s'est avéré que la vitamine C réduit l'hyperactivité du SNS de 11% et par conséquent réduit la pression sanguine (7% en moyenne par patient).

En 2009:

Des chercheurs de l'université de Californie Berkeley corroborent les autres études en affirmant qu'une dose élevée de vitamine C peut effectivement prévenir l'hypertension. Le docteur Gladys Block et ses collaborateurs ont mené une étude spécifiquement sur 242 jeunes femmes âgées de 18 à 21 ans. Il a été observé que les femmes ayant un taux sanguin de vitamine C élevé avaient une tension systolique et diastolique inférieures à celles dont le taux sanguin en vitamine C était plus faible.

Conclusion:

Ces trois études sérieuses ainsi que bien d'autres mettent en relief une relation entre une prise élevée de vitamine C et une baisse de la tension artérielle.


En savoir plus sur http://www.naturalexis.com/la_vitamine_c_est_elle_un_antihypertenseur_naturel.html#yl4jb5B7SpS35hxu.99

VITAMINE C ET INSOMNIE:

La plupart des gens pensent à tort que la vitamine C a un effet stimulant et excitant qui va les empêcher de dormir. Combien de fois avez-vous pu entendre qu’il ne fallait pas prendre de la vitamine C après 16 heures sinon vous alliez avoir des insomnies ! C’est malheureusement faux.

Expliquons :

Si vous prenez 500 mg de vitamine C vers 16 heures alors que vous n’en avez effectivement pas consommé de la journée, il se peut bien, en effet, que votre organisme qui est en insuffisance de vitamine C, se « réjouisse un peu vite de cet apport » et vous le fasse savoir par une exubérance qui peut ne pas vous faciliter l’endormissement.

Par contre, si vous prenez dès le matin au réveil, 1 dose de 1000 mg et que vous renouvelez cette dose à midi, puis une troisième prise au repas du soir et enfin une dernière prise de 1000 mg au coucher, non seulement vous n’aurez pas de problème d’endormissement, mais en plus, vous allez dormir d’un sommeil profond et réparateur. Cela ne va très certainement pas s’établir, comme par miracle, dès le premier soir, mais faites l’expérience sur au moins 8 jours, et vous allez constater une très nette amélioration de la qualité de vos nuits. Pour les personnes qui souffrent d’insomnies depuis longtemps et qui utilisent des somnifères, il est même possible de les « sevrer » des somnifères en augmentant considérablement la prise de vitamine C vers le soir. Cela peut donner par exemple, 1000 mg le matin + 1000 mg le midi + 3000 mg avant le repas du soir et encore 3000 mg avant le coucher.

VITAMINE C ET DÉPRESSION:


Les états pré-scorbutiques sont beaucoup plus courants qu’on pourrait le croire à première vue. La dépression, par exemple, dont on connaît mal les causes, pourrait être attribuable, partiellement du moins, à une carence en vitamine C, cette affection constituant l’un des premiers symptômes cliniques du scorbut.

Ce qui est clair par contre, c’est que si l’on supplémente rapidement en vitamine C une personne qui présente les symptômes d’un début de dépression, dans bien des cas, cette personne se rétablit très rapidement, sans être obligée de prendre (même temporairement) des antidépresseurs ou des anxiolytiques. Dans les cas de dépression, le dosage vitamine C peut atteindre les 10 à 15 grammes/jour, en 3 ou 4 prises.

VITAMINE C ET CANCER:


Le symposium qui s’est tenu à l’institut national de la santé de Washington, les 11 et 12 sept.1990, a bien montré que la vitamine C joue un rôle actif et important dans la prévention du cancer et qu’une teneur faible en vitamine C (hypovitaminose) double le risque statistique de cancer. Par ailleurs, la vitamine C atténue les conséquences des effets secondaires de la chimiothérapie et de la radiothérapie, tout en participant elle-même à la destruction des cellules malignes et en empêchant leur multiplication. (médecines nouvelles n°95 – 4è trim.99)

La encore, faut-il en déduire que la vitamine C seule va guérir le cancer ? ON ne le sait pas, par contre,  la vitamine C utilisée à haute dose, et en compléments d’autres thérapeutiques, va aider considérablement le travail de « réparation » de votre organisme.

VITAMINE C ET ALLERGIES:


Les phénomènes allergiques sont en pleine expansion. Pourquoi ? Le contact avec des produits chimiques nouveaux n’explique pas tout, car les allergies se développent aussi avec des allergènes naturels (graminées, etc..) que l’homme connaît depuis toujours. Non il faut chercher l’explication dans les taux de plus en plus bas de vitamine C chez les individus. Nous l’avons vu, l’alimentation moderne n’est plus capable de nous apporter les dosages vitaminiques dont nous avons besoin. Le stress grandissant contribue à nous faire perdre beaucoup de cette précieuse vitamine. Le tabac, l’alcool, la pollution sont autant de facteurs qui contribuent à nous faire consommer beaucoup de cette vitamine précieuse. Donc bon nombre d’individus se trouvent à des concentrations en vitamine C très proches de la carence. Avant d’en arriver à des carences graves qui pourraient provoquer le fameux scorbut, le corps réagit par d’autres signaux. Les réactions allergiques font partie de ces signaux.

La vitamine C réduit les réactions allergiques en diminuant le taux d’histamine qui est sécrétée par le corps lors d’une réaction de type allergique. Elle devrait donc être systématiquement donnée dans les cas de rhume des foins, asthme, etc… Une patiente a amélior considérablement ses crises de rhume des foins en prenant (dans les périodes concernées) jusqu’à 12 grammes de vitamine C par jour (en 3 prises)

VITAMINE C ET DOULEURS:


La vitamine C a également un pouvoir antalgique (qui atténue la douleur) lorsqu’elle est utilisée à haut dosage. (J’ai pu personnellement constater cet effet dans des dosages de l’ordre de 15 à 20 grammes/jour sur quelques jours). Il est possible dans ce contexte de l’utiliser même pour des douleurs très vives. Les douleurs importantes provoquées par les cancers des os peuvent être améliorées par de grosses consommations de vitamine C. (médecines nouvelles n°95 – 4è tr.99)

VITAMINE C ET CRISE DE LA GOUTTE:


Il a été constaté que la prise de vitamine C à raison de 8 g/jour pendant 8 jours seulement amène une réduction de 30 % de l’acide urique sanguin. Elle peut donc être utilisée efficacement et sans arrière pensée dans la prévention et le traitement de la goutte. (médecines nouvelles n°95 – 4è tr.99)

 

VITAMINE C ET ARTHROSE:


Pour un grand nombre de gens, l’arthrose et les douleurs que cette dernière entraîne sont liées au facteur de vieillesse. Combien de fois dois-je entendre en consultation, « que voulez-vous… c’est l’âge » un peu comme si l’arthrose était une fatalité contre laquelle on ne peut rien. Eh bien c’est faux ! Le traitement de fond par la vitamine C va nous être très utile puisque la vitamine C est un élément fondamental de la synthèse du collagène (comme nous l’avons déjà vu plus haut). De plus elle est inhibitrice des prostaglandines et des métallo protéases, tout en étant l’un des meilleurs chasseurs de radicaux libres dont nous puissions disposer. Dire que la vitamine C seule va régler le problème de l’arthrose serait erroné, mais l’associer en complément avec de la vitamine E, du silicium organique et faire en sorte que l’équilibre acido-basique reste toujours le plus correct possible va permettre, non seulement de stopper la progression de la dégradation occasionnée par l’arthrose, mais en plus, vous allez pouvoir améliorer l’état de vos tissus et cartilages sur un traitement au long cours. (des résultats visibles aux radiographies (entre 15 et 30 % d’amélioration) après 2 ou 3 ans de traitement).

 

VITAMINE C ET CONSTIPATION:


Un « des effets indésirables » pouvant être attribué à la prise de vitamine C à forte dose (supérieure à 10 ou 15 g/jour) est sa capacité de déclencher des diarrhées. (ceci est particulièrement vrai dans les premiers jours d’un traitement avec de la vitamine C à forte dose. Cela se régule très vite ensuite)

Inutile de dire, que sans aller dans des dosages si importants, la prise régulière de 3 à 4 g/jour de vitamine C peut facilement aider les personnes constipées à réguler leurs selles. La vitamine C produit donc un effet laxatif, doux et constant.

 

VITAMINE C ET ANÉMIE:

:
La vitamine B9 (acide folique) est présente dans le foie et les champignons, ainsi que dans les légumes verts. L’acide folique se transforme en acide folinique avec l’aide de l’acide ascorbique, donc de la vitamine C. Les carences en vitamine C entraînent par voie de conséquence une mauvaise utilisation de la vitamine B9 qui devient elle même responsable des anémies.

 

VITAMINE C ET COAGULATION DU SANG:


La vitamine C est un des éléments indispensables à la coagulation du sang. Il sera donc utile de prendre de la vitamine C dans tous les syndromes hémorragiques. Par ailleurs, les scorbutiques présentent toujours une diminution importante des taux de coagulation.

 

VITAMINE C ET CHOLESTÉROL:


La vitamine C intervient également dans la conversion du cholestérol en acides biliaires. Il faut savoir que cette conversion est la principale voie utilisée par l’organisme pour se débarrasser du cholestérol en excès. La vitamine C joue un rôle régulateur dans le métabolisme des lipides. Une administration au long cours à doses suffisantes (entre 3 et 5g/jour) contribue à réguler les problèmes d’hypercholestérolémie et de triglycérides du sang.

 

VITAMINE C ET CALCULS BILIAIRES:


D’après l’étude NHANES III portant sur 13000 sujets, il existe une relation directe entre le faible taux de vitamine C dans le sang et le risque de lithiase biliaire. Ce risque a spécifiquement été constaté chez la femme. (source : Quotidien du médecin, N°6684 du 10-Avr-2000). Il parait donc tout fait indiqué, là encore, de consommer régulièrement de la vitamine C ce qui peut prévenir la formation de calculs biliaires.

 

VITAMINE C ET ENFANTS AUTISTES:


Il n’est pas nécessaire de comprendre la biochimie de la vitamine C pour savoir qu’elle est essentielle à la fonction cérébrale. Les premiers signes d’une carence en vitamine C sont la confusion et la dépression. La vitamine C permet d’accroître la cognition, comme on a pu le constater chez des enfants normaux et trisomiques qui ont obtenu des résultats plus élevés dans des tests d’aptitude intellectuelle. D’autres études ont montré une amélioration de l’ EEG et de l’attention. Enfin, dans une série d’études remarquables, Hoffer et Osmond ont montré l’efficacité de la vitamine C pour traiter la schizophrénie.

 

La vitamine C et l’autisme : la vitamine C a-t-elle déjà été utilisée pour traiter l’autisme ? Il n’y a que deux études dans lesquelles on a évalué de façon spécifique l’effet de la vitamine C sur l’autisme. La première a été effectuée en 1967 afin d’évaluer les effets de quatre vitamines : B3, B5, B6 et C. Des doses d’un à trois grammes par jour seulement de vitamine C ont été utilisées (soit environ 20 mg/lb). À ces doses, la vitamine C a été largement surpassée par la vitamine B6 (18 études effectuées par la suite en ont montré les bénéfices). La seconde étude portant sur les effets de la vitamine C sur l’autisme a été menée par Dolske et coll.(1993). Au cours d’un essai en double insu contrôlé par placebo, d’une durée de 30 semaines, on a administré des doses de 52 mg/lb par jour (soit environ 7 g de vitamine C) à 18 enfants autistes (âgés de 6 à 19 ans) qui vivaient à la maison. On a alors noté une amélioration importante, au plan statistique, des résultats.

L’administration de doses plus élevées a vraiment donné de meilleurs résultats que la première étude. Quelle est cependant la dose appropriée pour traiter l’autisme ? Personne ne le sait, mais la vitamine C est très sûre, même à de fortes doses, alors ce serait bien de pouvoir déterminer quelle serait la dose optimale dans le cas de l’autisme. La recherche a également montré que la vitamine C améliorait l’état des patients atteints de dépression et de psychose maniaco-dépressive qui, comme cela a été mentionné dans « Infantile Autism », semblent être liés à l’autisme sur le plan génétique.

 

Vitamine C et Helicobacter pylori:


La vitamine C combattrait efficacement la bactérie que l’on croit responsable de la plupart des ulcères d’estomac.
Des études sur des animaux avaient déjà démontré qu’elle pouvait ralentir la croissance de cette bactérie, mais ce serait la première fois qu’un effet similaire est documenté chez l’humain.

Des chercheurs américains ont mesuré le taux d’acide ascorbique (vitamine C) dans l’organisme de 6 746 sujets et ont découvert que, chez les participants de race blanche, des taux élevés étaient associés à une présence réduite de la bactérie Helicobacter pylori. Le lien était plus faible chez les autres ethnies, sans que les chercheurs ne comprennent vraiment pourquoi.

Ainsi, les sujets blancs présentant les niveaux les plus élevés de vitamine C étaient 25 % moins à risques d’avoir été infectés par la bactérie. De plus, lorsqu’ils ont étudié une souche particulièrement virulente de la bactérie, les chercheurs ont découvert que chaque augmentation de .50 mg de vitamine C par décilitre réduisait le risque d’infection de 69 %.

Une infection chronique à la H.pylori est un facteur de risque important pour les ulcères gastriques ainsi que pour le cancer de l’estomac.

Les agences gouvernementales de santé recommandent aux femmes adultes de consommer 75 mg de vitamine C chaque jour, et aux hommes d’en consommer 90 mg. Une orange de taille moyenne en contient environ 60 mg.

Les résultats de cette étude sont publiés dans l’édition du mois d’août du Journal of the American College of Nutrition.

Source : D’après HealthDay et drkoop.com; 1er août 2003. publié dans http://www.passeportsante.net/

Précautions....

Attention

  • La consommation à long terme de hautes doses de suppléments de vitamine C est à éviter en cas :
    - d’insuffisance rénale accompagnée d'un trouble du métabolisme de la vitamine C ou de l'acide oxalique;
    - d’hémochromatose;
    - de déficit en G6PD;
    - de chirurgie intestinale.

Contre-indications

  • Aucune connue aux doses habituellement recommandées.

 

Effets indésirables

  • Selon les auteurs d’une synthèse parue en 2005, jusqu’à concurrence de 2 000 mg par jour (en doses divisées), la supplémentation en vitamine C ne présente aucun danger30.

  • Il existe une controverse au sujet de la possibilité que de hautes doses de vitamine C augmentent le risque de calculs rénaux32-34.

  • De hautes doses de vitamine C (plus de 2 000 mg par jour) peuvent occasionner des selles molles, de la diarrhée et des troubles gastro-intestinaux. Un arrêt temporaire de la supplémentation ou une diminution du dosage remédie généralement à ces effets indésirables. Fractionner la dose quotidienne en plusieurs prises réparties dans la journée et prendre la vitamine C en mangeant peut aussi aider.

  • Les personnes qui suivent un régime faible en sodium devraient éviter les mégadoses de vitamine C sous forme d'ascorbate de sodium, car 1 000 mg (1 g) fournissent en moyenne 131 mg de sodium35. Il s’agit cependant d’une forme peu fréquente sur le marché.

 

Interactions avec des plantes ou des suppléments

  • Aucune connue.

 

Avec des médicaments

  • La prise régulière d'aspirine, d'anti-inflammatoires et de contraceptifs oraux peut faire diminuer le taux sanguin de vitamine C. La prise de suppléments pourrait alors s'avérer nécessaire.

  • Au cours d'une étude portant sur 160 sujets souffrant de maladie coronarienne et d'un faible taux de HDL (« bon cholestérol »), les chercheurs ont constaté que la prise quotidienne d'une combinaison d'antioxydants (1 000 mg de vitamine C, 800 UI de vitamine E, 100 µg de sélénium et 25 mg de bêta-carotène) avait diminué l'effet positif d'un médicament combinant la simvastatine et la vitamine B336.

 

L'avis de notre pharmacien

S’il existe une vitamine controversée, c’est bien la vitamine C. D’un côté se trouve Linus Pauling, tenant des mégadoses. Sa théorie est basée sur la constatation que les animaux carnivores produisent des taux de vitamine C équivalant, pour les humains, à 18 g (18 000 mg) par jour. De l’autre côté, il y a les apports nutritionnels recommandés (ANR) qui fluctuent, selon le pays, entre 60 mg et 120 mg par jour. Il y a là de quoi perdre son latin.

SOURCE  http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=vitamine_c_ps

SECRETS DE LA VITAMINE C

 

                     Pourquoi la vitamine C n’est-elle pas plus souvent indiquée sur le plan thérapeutique ?

Lorsque l’on prend conscience de tous les bienfaits que nous apporte la vitamine C, l’on peut en effet se demander pourquoi les médecins ne la prescrivent pas plus souvent… pour ne pas dire systématiquement. A ce sujet, les propos du Dr.Pierre CORSON sont éloquents : « Ces traitements par molécules naturelles non toxiques, sont simples et efficaces. Ils sont encore trop peu connus en France, où le corps médical reste sous l’influence de l’industrie pharmaceutique. » (Dr.Pierre Corson – Médecines Nouvelles n° 95 – 4è trimestre 1999).

Il faut aussi savoir que la vitamine C est une molécule « naturelle » et que par conséquent elle n’est pas brevetable. Voila certainement une autre raison pour laquelle l’industrie pharmaceutique ne souhaite pas s’y intéresser vraiment.

   La question des besoins réels et optimums en vitamine C pour l’homme fait débat. En effet, les apports journaliers recommandés par les autorités de santé (entre 90 et 110 mg par jour) ne sont établis que dans le but de prévenir la carence sévère et facilement observable en vitamine C qu’on appelle le scorbut et qui se caractérise par des saignements gingivaux, de la fatigue, un déchaussement des dents puis la mort.

En aucun cas ces apports n’ont été formulés pour « placer l’organisme dans des conditions de fonctionnement optimal ». L’observation de primates supérieurs (qui ne synthétisent plus non plus la vitamine C comme nous) dans leur environnement naturel a permis de constater des apports quotidiens en vitamine C situés entre 2000 mg et 8000 mg, soulevant encore plus l’interrogation.

Alors, avec des apports journaliers recommandés vingt à quarante fois plus faible que nos frères singes, la nébuleuse "big pharma" nous cacherait-elle quelque chose ?

DES SAVANTS CLÉS

Docteur en informatique
Linus Pauling, docteur en philosophie (Ph.D), et deux fois Prix Nobel de chimie (1901-1994).
In vitro-fertilisation Shots
Albert Szent-Györgyi de Nagyrápolt 16 sept. 1893 - 22 oct. 1986 (93 ans), est un scientifique hongrois. Il a reçu en 1937 le prix Nobel de physiologie ou médecine pour avoir, entre autres, découvert la vitamine C et les flavonoïdes et pour avoir exploré leurs propriétés biochimiques.
Molécule
le docteur Thomas E. Levy
Vérification d'un formulaire médecin
Balz Frei,  professeur de nutrition à l’université de Harvard, professeur de toxicologie moléculaire, professeur de biochimie et de médecine et récompensé par de multiples prix scientifiques

  Linus Pauling, un scientifique qui marquera l’histoire à jamais puisque c’est le seul homme au monde à avoir été récompensé de deux prix Nobel : un prix Nobel de chimie en 1954 pour sa contribution à la découverte de la structure des protéines et un prix Nobel de la paix en 1962 pour sa lutte de plus de 10 ans contre les essais nucléaires dans l’atmosphère. Sa notoriété ne vient pas de ses connaissances incroyables en physique quantique ou en chimie, bien qu’elles lui valurent d’être qualifié de génie par Albert Einstein, mais plutôt de ses travaux remarquables sur les vitamines et en particulier sur la vitamine C. En 1970 il publie un livre qui secouera le monde médical pendant plus de 20 ans : La vitamine C et le rhume, et dans lequel il soutient qu’une supplémentation en vitamine C peut réduire le risque de rhume et diminuer la durée des symptômes. Il affirmera plus tard que cette vitamine peut prévenir les maladies cardiovasculaires, en se basant notamment sur le constat que les animaux qui fabriquent eux-mêmes la vitamine C ne connaissent pas ces maladies. À ce jour plusieurs centaines d’études scientifiques ont été menées en 50 ans sur les effets de la vitamine C et certains éléments sont particulièrement clairs : les sportifs ont des besoins plus importants en vitamine C que les sédentaires, et en particulier les sportifs d’endurance. Chez eux, un apport de 500 à 1000 mg par jour permet de maintenir un système immunitaire performant et de diminuer la fréquence et les symptômes du rhume (5).

Des apports similaires devraient être recommandés aux fumeurs, car le tabac augmente très nettement les besoins en vitamine C (6, 7, 8). À l’âge de 72 ans, Linus Pauling avait l’état de santé d’un jeune homme et il mettait sur pieds l’institut pour la médecine orthomoléculaire en Californie, une organisation de recherche focalisée sur l’utilisation de vitamines et de micronutriments pour prévenir ou soigner des maladies.

   Balz Frei, professeur de biochimie et de biophysique et directeur de l’Institut Linus Pauling à l’université de l’Oregon est considéré comme le meilleur spécialiste mondial de la vitamine C.

Il a notamment reçu le Prix de médecine préventive décerné par l’American College for Advancement in Medicine.

Selon lui, les besoins en vitamine C sont sous-évalués et les suppléments sont sans danger.

Selon lui, il existe une quantité réellement considérable de preuves solides montrant que la vitamine C exerce de nombreux effets favorables à la santé. Les aliments riches en vitamine C non seulement abaissent le risque de cancer, mais aussi celui de maladie cardiovasculaire, d’accident vasculaire cérébral, de cataracte et de bien d’autres maladies. En conséquence, plus vous mangerez de fruits et de légumes, mieux vous vous porterez. Si vous choisissez de prendre des suppléments de vitamine C, continuez ainsi, car les preuves scientifiques indiquent que vous vous ferez beaucoup de bien et certainement aucun mal !

Il affirme également que selon ses études, chez de jeunes femmes non fumeuses en bonne santé, ont montré qu’il faut apporter au moins 400 mg de vitamine C par jour pour assurer un niveau optimal de cette vitamine dans le plasma et les cellules circulantes. Il faut noter que les études qui répondent à la question de savoir de combien de vitamine C on a idéalement besoin n’ont été conduites que chez des non fumeurs jeunes et en bonne santé.

Albert Szent-Györgyi a concentrés ses recherches sur la chimie de la respiration cellulaire. Ce travail lui a permit de devenir membre de la Fondation Rockefeller à l'Université de Cambridge.

Il reçoit en 1937 le prix Nobel de Physiologie et Médecine « pour ses découvertes liées aux processus de combustion chimique, avec une mention spéciale à la vitamine C et à la catalyse de l'acide fumarique ». Après avoir remporté le prix Nobel, Szent-Györgyi a jeté son dévolu sur la recherche d'un moyen pour vaincre le cancer.

Beaucoup d'agents infectieux et leurs maladies, peuvent être complètement évités, facilement réversibles et souvent guéris avec uniquement de la Vitamine C. Entre la fin des années 1930 et le début des années 1940, la Vitamine C fabriquée en laboratoire, est devenue accessible à un prix abordable. Cela grâce à un chercheur, Albert Szent-Györgyi, un biochimiste hongrois/américain, Prix Nobel en 1937 pour son travail sur l'acide ascorbique.

Un livre passionnant sur la Vitamine C écrit par le docteur Thomas E. Levy, ID intitulé Vitamin C, Infectious Disease and Toxins : Curing the Incurable avec ses 400 pages et plus de 1 200 références scientifiques devrait faire partie de votre bibliothèque personnelle. Non seulement ce livre est facile à lire et vous apprend tout sur la Vitamine C, mais il vous informe sur des faits incroyables, mais vrais. Le docteur Levy est médecin et avocat. Il a écrit ce livre avec l'intention bien précise de pouvoir défendre chacune de ses déclarations devant un tribunal. Lorsqu'il écrit selon des faits prouvés scientifiquement qu'à des doses appropriées, la Vitamine C en injections intraveineuses ou même souvent, selon la maladie ou la gravité, par voie orale, guérit des maladies redoutables telles que la polio, l'hépatite B et C, la maladie de Lyme, la mononucléose (virus Epstein-Barr), et bien d'autres, comme la rougeole, la varicelle, l'herpès..., c'est un fait et non une plaisanterie. Le docteur Levy n'aurait pas pu avancer de telles informations si ce n'était pas vrai. Cet ouvrage va franchement vous fournir des sujets d'indignation. Par exemple, il relate qu'au sommet de l'épidémie de la polio en 1949, lorsque les jeunes parents vivaient dans la peur que leurs bébés et jeunes enfants soient les prochaines victimes, le docteur Frederick R. Klenner a publié des rapports où il disait clairement que grâce à la Vitamine C, il guérissait avec succès 60 de ses 60 patients atteints de polio venus en urgence et sans qu'aucun de ces 60 patients traités ne reste handicapé à vie comme cela était souvent le cas lorsqu'on attrapait le virus de la polio.

Comment de telles informations ont-t-elles pu être ignorées dans le passé et le restent encore aujourd'hui ? Comment est-il possible que des médecins et chercheurs, gens intelligents et soucieux de la santé publique, puissent laisser dans les oubliettes de tels renseignements ? De nouveau, c'est une question d'argent. Étant une substance naturelle, la Vitamine C ne peut être exploitée par les firmes pharmaceutiques. C'est plus qu'une poignée de médecins et d'hommes de science qui réalisent le danger de voir leurs revenus diminuer avec quelques découvertes médicales gênantes mais légitimes comme celle-ci. En lisant le livre du docteur Levy vous allez vite comprendre que la médecine orthodoxe et ses complices, les industries pharmaceutiques, sont corrompues et laissent mourir des milliers de personnes par intérêt financier, alors qu'il existe depuis fort longtemps, pour tant de maladies et problèmes de santé, une thérapie naturelle, disponible et bon marché : la Vitamine C. D'ailleurs, de nombreux traitements utilisés par la médecine orthodoxe dans les maladies infectieuses seraient plus efficaces si l'on y ajoutait la dose adéquate de Vitamine C.

LES SECRETS:

Ici ne sont affichés que quelques chercheurs essentiels à la découverte de la Vitamine C qui est une vitamine miraculeuse et qui ont prouvé qu'elle est essentielle pour une bonne santé. Elle n'a aucune toxicité et peut donc être consommée indéfiniment. Pourtant, il faut absolument garder en mémoire plusieurs critères très importants afin de l'utiliser correctement et bénéficier pleinement de ses vertus :

- La Vitamine C doit être prise sous une forme adaptée aux besoins.
- La Vitamine C doit être donnée avec la bonne technique.
- La Vitamine C doit être prise fréquemment à des doses adéquates.

Il ne faut
pas prendre la dose quotidienne de Vitamine C en une seule fois mais plutôt en petites doses égales, réparties plusieurs fois dans la journée.

Par exemple, si votre dose quotidienne de Vitamine C correspond à 3 grammes par jour, il faut prendre 1 gramme de Vitamine C le matin, juste après le petit déjeuner. (Il vaut mieux éviter de la prendre à jeun. Le fait de la prendre sans nourriture peut causer à certaines personnes des maux de ventre ou des diarrhées), 1 gramme après le déjeuner (ou un peu plus tard si l'on se lève plus tard le matin) et 1 gramme au coucher.

- La Vitamine C doit être prise à des doses suffisamment fortes.
Il ne faut pas prendre de Vitamine C à des doses inférieures à 1 500 milligrammes (1,5 grammes) par jour. Il faut savoir, aussi étrange que cela puisse vous paraître, que cette vitamine à des doses inférieures à 1 500 milligrammes ne sera pas efficace et pourrait même dégrader votre santé.

Des méga-doses pour les cas extrêmes !

Selon le Dr. Cathcart et d’autres experts, la prise de plus fortes doses de vitamine C, lorsque vous êtes malade, abrégera de façon marquée la durée de votre maladie. C’est également le point de vue du Dr. Alain Scohy.

Durant une épidémie de mononucléose, des patients de Cathcart, qui étaient atteints de la maladie, se sont remis à fonctionner normalement quelques jours seulement après avoir commencé à recevoir quotidiennement, par voie orale et intraveineuse, 200 grammes de vitamine C. Les patients d’autres médecins de la même communauté ont cependant été hospitalisés pendant plusieurs semaines.

Ecoutons le Dr.Cathcart lui-même : « En 1974, lorsque ma fille Helen, alors adolescente, a été hospitalisée, car elle souffrait de la maladie de Hodgskin en phase « terminale » (stade 4B), j’ai décidé de lui faire prendre 40 grammes de vitamine C par jour (526 mg/lb). Ses médecins étaient atterrés : « Vous allez la tuer! » « Pas du tout », leur ai-je répliqué. Elle a rapidement guéri et, elle est aujourd’hui, 24 ans plus tard, en excellente santé. »

 

La vitamine C apportéeest  stockée dans l’organisme…

Certains vous dirons : « il est complètement inutile de consommer de grandes doses de vitamine C, puisqu’au delà de 60 à 80 mg, la vitamine C en surplus est éliminée dans les urines. Tout ce que vous consommez en plus, sert uniquement à « engraisser » les marchands de vitamine C. »

Sachez pourtant qu’au-delà de la teneur en vitamine C du plasma sanguin, des études ont démontrées que les globules blancs continuent de « stocker » la vitamine C au-delà de la prise quotidienne de 60 mg. Le Docteur Feigan, un chercheur californien, a calculé qu’il fallait multiplier par 10 les apports en vitamine C pour que le taux plasmatique soit multiplié par 2. Pour que le plasma sanguin soit à saturation, il faut atteindre une concentration de 10 à 12 mg/litre, ce qui correspond à une prise journalière de 100 à 150 mg de vitamine C. Lorsque cette saturation plasmatique est atteinte, le corps rejette plus de 60 % de la vitamine C excédentaire.

Autrement dit, plus vous manquez de vitamine C et plus vous la retenez. Par contre, dès que le plasma sanguin a atteint la concentration de 10/12 mg/litre, alors 60 % de la vitamine C absorbée est éliminée par les urines… ce qui veut dire encore que 40 % reste dans le corps… et si elle n’est plus absorbée par le plasma sanguin, puisqu’il est a saturation), ce sont les autres tissus qui renforcent leur réserve. (globules blancs principalement).



- Lorsque la dose de Vitamine C a été augmentée provisoirement, et que vous voulez revenir à votre dosage quotidien habituel, il ne faut pas brusquement diminuer la dose de Vitamine C. Votre résistance aux maladies peut être amoindrie temporairement avec un tel processus. Pour éviter que cela arrive, il faut toujours diminuer la dose lentement et progressivement durant une période d'une à deux semaines pour arriver enfin à votre dose habituelle.

- Éviter à tout prix un arrêt brusque de l'usage à long terme de la Vitamine C lors d'une hospitalisation. Il faut absolument au contraire qu'une quantité plus élevée de Vitamine C soit administrée afin d'éviter des complications durant le séjour à l'hôpital.

La Vitamine C joue un rôle dans presque toutes les réactions chimiques de l'organisme et dans de nombreux métabolismes. Elle joue donc un rôle dans la santé de la peau, des ligaments, des parois des vaisseaux sanguins, des dents et des os. Elle intervient aussi dans le processus fournissant l'énergie nécessaire à l'effort musculaire et dans la synthèse des hormones surrénales qui jouent un rôle essentiel en cas de stress. Elle maintient aussi le tonus et permet de mieux affronter la fatigue. Elle joue un rôle important dans les mécanismes de défense immunitaire et lutte contre toutes sortes d'infections bactériennes et virales. La vitamine E bloque la formation de cholestérol à 45 %, la béta-carotène à 90 % alors que la Vitamine C bloque cette formation de cholestérol à 95 % ! Que ce soit pour des problèmes aux yeux, aux gencives, d'arthrite, diabète, asthme, allergies, stérilité, cancer, maladies cardiovasculaires, foie, d'infections bactériennes et virales, la Vitamine C est vitale. Si vous êtes blessé ou que vous devez subir une intervention chirurgicale, il faut veiller à pouvoir prendre une quantité optimale de Vitamine C.

Pratiquement tous les organismes vivants ont la capacité de produire leur propre Vitamine C. Hélas, l'être humain, le cochon d'Inde et quelques autres espèces d'animaux font partie des êtres vivants défavorisés, qui ne peuvent absolument pas fabriquer de Vitamine C dans leur corps. De ce fait, pour que notre corps reçoive cette vitamine vitale, il faut trouver un apport par d'autres moyens, dont notre alimentation. Mais malheureusement, il est impossible d'acquérir la quantité nécessaire de Vitamine C uniquement par l'alimentation. Cette quantité varie non seulement entre les différentes espèces de fruits et légumes, mais aussi dans la même variété d'aliments. De plus, le simple fait de couper les fruits et légumes fait perdre la moitié de leur contenu en Vitamine C. Cette vitamine est une des moins stables, facilement perdue lors de stockage et de cuisson. Et pour tous ceux qui prennent des médicaments, le besoin de Vitamine C s'accroît. De nombreux médicaments augmentent en effet le besoin en Vitamine C tels que la pilule contraceptive, les préparations à base de cortisone (à avaler), les sédatifs (barbituriques), les analgésiques, les antirhumatismaux, et les antibiotiques.

 


20 kg d'oranges pour seulement 10 g de vitamine C:

Le docteur Pauling a calculé la quantité de Vitamine C que les animaux produisent eux-mêmes. Il a trouvé par exemple, que la quantité moyenne de Vitamine C produite par une chèvre équivaut à 5 000 milligrammes (= 5 grammes) ! Cette faculté est particulièrement marquante chez les rats. Égal à un homme de 70 kg, leur corps fabrique une dizaine de grammes de pure Vitamine C !

Cela correspond au contenu d'une vingtaine de kilos d'oranges. Il n'est donc pas étonnant que les rats puissent résister dans des conditions particulièrement insalubres, sans s'empoisonner. Il est intéressant de noter ici que les animaux domestiques, tels les chiens et les chats, produisent beaucoup moins de Vitamine C que les chèvres et bien moins que les animaux sauvages. Voilà pourquoi les vétérinaires soignent nos compagnons souffrant des mêmes maladies que leurs maîtres. Pour nous, les êtres humains, la quantité de Vitamine C nécessaire pour éviter le scorbut est d'environ 60 milligrammes, mais cela est loin d'être la quantité nécessaire pour se protéger des autres maladies et problèmes de santé.

La Vitamine C est incroyablement inoffensive. Le seul et unique effet indésirable qui peut se produire si l'on prend une dose plus forte que son seuil de tolérance intestinal, est d'aller à la selle un peu trop facilement. Mais ce problème est vite réglé lorsqu'on arrive à connaître son besoin personnel en Vitamine C pour rester en bonne santé. Avec un peu d'expérience, on apprend vite à connaître sa propre tolérance maximale journalière en Vitamine C. (Pour tous ceux qui souffrent d'une constipation chronique, la Vitamine C facilite le transit intestinal.)

Lorsqu'on commence pour la première fois à prendre de la Vitamine C, il faut augmenter progressivement la dose jusqu'à ce que son besoin personnel soit atteint. Il faut commencer avec 1 500 milligrammes (un gramme et demi) par jour, et après deux à trois jours augmenter de 500 milligrammes, et ainsi de suite pour arriver à la quantité nécessaire. Bref, la Vitamine C est un des nutriments les plus inoffensifs que vous puissiez avaler. Donc, il ne faut pas craindre son utilisation. Votre corps va simplement en éliminer le surplus, mais avant cela, la Vitamine C aura eu le temps d'apporter ses effets bénéfiques dans tout votre organisme. Ceux qui affirment que l'administration de fortes doses de Vitamine C est ridicule car elles sont rapidement rejetées ne tiennent pas compte du fait que le transit de cette vitamine puissante dans l'organisme, même s'il est rapide, peut accélérer et normaliser au passage des multiples réactions métaboliques. Juger le besoin en Vitamine C simplement par le taux sanguin et l'excrétion urinaire est arbitraire et insuffisant. Ce ne sont guère ces chiffres qui importent, mais ce qui se passe dans les organes et les tissus. En outre, il est bon d'avoir de la Vitamine C dans l'urine. Cela protège contre les infections urinaires et aussi contre le cancer de la vessie.

La Vitamine C administrée par voie intraveineuse  ne passe pas par les intestins, de sorte que de plus fortes doses peuvent être administrées sans provoquer de diarrhée.
La Vitamine C par injections intraveineuses est deux fois plus active que celle prise par la bouche et, en plus, elle est sûre, inoffensive et hautement efficace. Malheureusement, les hôpitaux ne l'utilisent pas. Leurs injections, contenant de l'eau stérile avec du dextrose ou saline, sont administrés surtout pour garder leurs patients hydratés, alors qu'un intraveineuse avec de la Vitamine C (sous forme tamponnée de l'ascorbate sodium ou de l'acide ascorbique) a pour but de guérir les patients.

Il y a déjà environ un siècle de recherche sur la Vitamine C et quelque 50 000 à 100 000 articles scientifiques ont été publiés. Il ne se passe pas un jour sans qu'un article médical ne mentionne la Vitamine C.
Cette vitamine est une des substances les plus analysées dans l'histoire de la recherche médicale mondiale mais malgré cela, paradoxalement, cette vitamine reste une des substances les plus ignorées en terme d'application pratique. Et pourtant les chercheurs n'arrivent pas à lui trouver des défauts. Des années durant, la médecine orthodoxe déclarait, et déclare hélas toujours, que cette vitamine provoque calculs rénaux et déficiences en vitamine B12 mais ces accusations ont été prouvées depuis longtemps fausses et sans fondement. Cette désinformation se trouve encore dans les livres médicaux. Pendant ces trente dernières années, plus de recherches ont été faites sur la Vitamine C que pour tout autre nutriment car le monde médical connaît son efficacité dans la prévention et le traitement des maladies, même les plus redoutables. Son efficacité n'a pas changé. Ce sont plutôt les médias qui se sont blasés de trente ans de bonnes nouvelles sur la Vitamine C...

Aussi étonnant que cela soit,
la Vitamine C a été cité dans la littérature médicale pour avoir facilement et définitivement guéri la polio et l'hépatite aiguë, deux maladies virales encore considérées aujourd'hui par la médecine orthodoxe comme incurables, indépendamment des traitements employés. Il est vrai que polio et hépatite peuvent parfois guérir spontanément, et cela relativement vite ou même après une période prolongée. Toutefois, la médecine orthodoxe semble ignorer que des doses adéquates de Vitamine C guériront de manière fiable et rapide pratiquement tous les cas de polio et d'hépatite aiguë. Des bébés ayant la polio sont complètement guéris en moins d'une semaine. Les patients souffrant d'hépatite aiguë sont malades pendant quelques jours seulement au lieu de plusieurs mois et la chronicité de l'hépatite ne se développe pas chez ces patients lorsqu'ils ont été traités avec suffisamment de Vitamine C. Bien que la polio soit une maladie en grande partie inconnue de la jeunesse et oubliée des anciennes générations, tout médecin, âgé ou jeune, vous dira que la polio était, et reste, une maladie sans aucun traitement efficace et surtout sans aucune guérison. Et pourtant ce n'est pas vrai.


 

Par ailleurs, la Vitamine C est efficace pour la protection et la guérison de plusieurs sortes d'empoisonnements (les champignons, les métaux lourds comme le mercure, le plomb).

Cette vitamine annule les effets d'une vaste variété de poisons, toxiques plus que n'importe quel autre agent connu à ce jour. Ici encore peu de renseignements à cet égard figurent dans les livres de médecine et beaucoup de personnes dans le monde continuent à souffrir et mourir de ces intoxications puisque la médecine orthodoxe ne propose aucun traitement pour eux. Si un traitement avec de la Vitamine C n'apporte pas d'amélioration dans un essai clinique, la conclusion fréquemment utilisée par la médecine orthodoxe est que la Vitamine C est inefficace pour cette forme de toxicité. Une conclusion plus honnête et scientifique serait que la quantité de Vitamine C utilisée était inefficace. Il est très important en effet de garder en mémoire que le dosage administré de la Vitamine C doit toujours être suffisant. De plus, dans les cas graves comme l'intoxication, il est important d'administrer la Vitamine C par voie intraveineuse , quitte à ajouter par la suite des doses par voie orale.
Les effets bénéfiques de la Vitamine C ne s'arrêtent pas là. La liste est loin d'être exhaustive pour des traitements efficaces. Voici quelques exemples :

Pour le zona, la douleur intense associée aux lésions de la peau et qui peut souvent persister pendant des semaines avant de disparaitre totalement, est complètement guérie dans pratiquement tous les cas lors de la première injection de Vitamine C. Même sans les médicaments antidouleurs, le soulagement est permanent. Les lésions de la peau qui en général persistent pendant des semaines disparaissent complètement en trois jours !

La sclérose en plaques et le lupus érythémateux sont considérés, par certains praticiens de la médecine orthodoxe, comme des maladies où le système immunitaire est devenu trop actif, et elles sont donc traitées, entre autres, avec des médicaments immunodépresseurs. Toutefois, beaucoup de ces maladies-là sont dues surtout à des toxines non neutralisées (mercure par exemple). Lors d'essais cliniques, ces deux maladies répondaient très bien à de hautes doses de Vitamine C.

Pour les maladies bactériennes infectieuses (la diphtérie et la tuberculose...), là encore la thérapie naturelle de la Vitamine C guérit. La tuberculose est la première cause infectieuse de maladie et de décès dans le monde. L'O. M. S. estime qu'environ 33 % de la population mondiale sont infectés par la tuberculose en période de latence, et que dans ce réservoir, environ huit à dix millions de nouveaux cas actifs se développent chaque année. Il a été constaté par Osborn et Gear, en 1940 déjà, que les mammifères n'ayant pas la capacité de fabriquer eux-mêmes de la Vitamine C (l'être humain, le singe et le cochon d'Inde...) étaient les plus susceptibles de contracter ces infections bactériennes. La plupart des maladies infectieuses, telle que la tuberculose, réussissent en effet à infiltrer un corps déficient en Vitamine C. La bactérie responsable de la tuberculose est très lente à s'étendre. Les médicaments utilisés par la médecine orthodoxe ont donc besoin d'un certain temps, même plusieurs années, pour obtenir les meilleurs résultats pour un patient tuberculeux. La Vitamine C est aussi efficace tout en étant naturelle. Elle doit être prise par le patient toute sa vie et à de plus fortes doses pendant au moins la première année du traitement.

La fièvre rhumatismale est causée par une infection streptococcique mal soignée. Elle frappe surtout des jeunes entre cinq et quinze ans. Les enfants à cet âge ont besoin approximativement de deux fois plus de Vitamine C par kilogramme de poids que les adultes du fait que, pendant ces années-là, leur croissance monte en flèche. Des chercheurs déclarent que la plupart des cas de fièvre rhumatismale sont causés par une déficience grave en Vitamine C chez les sujets atteints d'une infection au streptocoque. Il a été constaté que les infections bactériennes streptococciques sont sensibles même à un apport minimal de Vitamine C ! Le traitement aux antibiotiques peut être utilisé mais il est probablement inutile dans la plupart des cas. Cela démontre qu'un apport quotidien de Vitamine C, à des doses optimales, éviterait des infections streptococciques telles que la pharyngite, l'amygdalite, la fièvre rhumatismale...

Un traitement à haute dose de Vitamine C joue également un rôle thérapeutique important pour des personnes atteintes du SIDA.

En ce qui concerne le cancer, une équipe de chercheurs du National Institute of Health aux États-Unis a publié récemment une étude sur les
effets à très hautes doses de Vitamine C sur des cellules cancéreuses. Ils ont trouvé que de hautes concentrations de Vitamine C (ascorbate) tuaient des cellules cancéreuses, diminuant leur taux de survie de 50 % sans que les cellules normales soient affectées.

Il faut administrer la Vitamine C par voie intraveineuse (IV) pour tuer des cellules cancéreuses et des microbes, car il en faut de très fortes concentrations. Dix grammes de IV Vitamine C, par exemple, augmente les taux de Vitamine C dans le sang comme si l'on avait pris par voie orale plus de 250 grammes ! Il est très peu probable que de telles informations soient diffusées dans les medias ou par un cancérologue. L'industrie du cancer génère des milliards de dollars avec ses traitements de chimiothérapie et de radiation. Elle ne va pas quand même les remplacer avec une vitamine bon marché ! Il ne faut pas rêver.

Pour éviter les malentendus…

Après la lecture de ce dossier, vous pouvez peut-être penser que la VITAMINE C est le nec plus ultra, la panacée universelle et que grâce à elle, vous pouvez TOUT guérir.

Si vous avez compris cela… je suis désolé de vous « réveiller brutalement », mais CE N’EST PAS LE CAS. Je vais vous donner une image qui va peut-être vous permettre de mieux comprendre. Imaginez le cas d’un chantier de rénovation d’un immeuble.

Pour pouvoir effectuer les travaux, les ouvriers ont besoin de matériaux. Il va y avoir des cloisons a refaire, des murs à modifier, un crépissage de façade à refaire, etc… et pour cela, nous allons livrer des briques, des parpaings, et bien sûr du CIMENT.

 

Le ciment sera cette substance INDISPENSABLE qui permettra d’assembler les différents matériaux. Avec du ciment, vous pouvez faire du béton, assembler des parpaings mais aussi faire de la finition (crépissage par exemple). Si par contre, vous ne livrez que le seul ciment sur votre chantier, vous aurez bien du mal à effectuer les travaux de rénovation, car le ciment seul ne remplacera jamais les autre matériaux (parpaings, briques, sable, etc…)

Par comparaison, la VITAMINE C agit un peu comme le CIMENT que je viens de décrire. La VITAMINE C est INDISPENSABLE dans bon nombre de travaux de réparation entrepris par votre organisme. Vos ouvriers (les cellules de votre corps) en ont besoin en quantité suffisante. (si vous livrez un seul sac de ciment pour rénover tout un immeuble… cela va faire un peu juste). Mais tout comme le ciment, si vous ne donnez à votre corps que la seule VITAMINE C, il y a fort à parier que cela ne soit pas suffisant. Dans tous les cas de pathologies, il faudra absolument prendre d’autres thérapeutiques. Que ce soit des thérapeutiques classiques prescrites par votre médecin, ou des remèdes naturels proposés par votre thérapeute. Dans tous les cas, la prise de VITAMINE C ne peut que potentialiser les autres remèdes et donc vous aider à GUERIR plus vite. J’espère que cette petite précision évitera bien des malentendus.

https://fr.sott.net/article/2288-Mensonges-et-verites-sur-la-vitamine-C

Conclusion : vitamine C

Il est impératif de prendre de la Vitamine C même pour les personnes en bonne santé. Les gens malades devraient en absorber des quantités encore plus importantes. La dose optimale n'est pas nécessairement appropriée pour deux patients présentant les situations cliniques similaires, car l'organisme d'un patient peut métaboliser plus rapidement la Vitamine C qu'un autre. La plupart des gens peuvent en absorber 15 à 20 grammes quotidiennement en trois doses ou plus, sans trop de problèmes gastro-intestinaux. Si, avec votre dose quotidienne de Vitamine C il vous arrive de contracter deux à trois rhumes pendant l'hiver, cela peut être un signe que la quantité de Vitamine C ne vous suffit pas. Il est donc recommandé d'essayer une quantité de Vitamine C quotidienne plus élevée. Il faut apprendre à adapter la dose qui vous convient selon les différents critères exprimés tout au long de cette rubrique. Afin de vous aider à déterminer votre dose quotidienne, il est recommandé d'augmenter progressivement la dose de Vitamine C jusqu'au stade où vous allez trop facilement à la selle. Vous serez alors arrivé au seuil de votre tolérance intestinale où il faudra diminuer le dernier dosage pris. Attention tout de même à prendre vos doses de Vitamine C après les repas. Certains ont des intestins plus sensibles que d'autres en prenant cette vitamine à jeun, et cela peut donc fausser l'estimation de la dose nécessaire. Aussi longtemps que vous restez en bonne santé, et que vous ne souffrez plus de nouvelles infections ou de nouveaux problèmes de santé, votre dosage devrait rester inchangé. Toutefois, il y a toujours un moment ou un autre où les risques de nouvelles infections sont plus menaçants (saison de la grippe par exemple). En prévention, il faut tout simplement augmenter provisoirement la dose de Vitamine C. Vous verrez qu'avec l'expérience vous allez améliorer votre manière d'utiliser cette vitamine. L'important est que votre dose optimale de Vitamine C soit prise sans faute tous les jours.

De très hautes doses de Vitamine C par voie orale peuvent produire des gaz intestinaux. Afin de minimiser ces effets, il faut essayer différentes sortes de Vitamine C et différentes manières de l'utiliser (après les repas, au lieu de la prendre à jeun ou avant les repas). Certaines personnes tolèrent les ascorbates de sodium mieux que l'acide ascorbique, et pour certains, un mélange des deux peut être préférable. Certains effets indésirables peuvent aussi être la conséquence des additifs utilisés dans certaines fabrications de la Vitamine C.
Il existe différentes formes de Vitamine C : la poudre cristalline pure, des comprimés et des capsules à action prolongée (ces dernières sont à éviter car elles peuvent être nocives pour le foie.) Certains individus tolèrent les comprimés de cette vitamine mieux que les cristaux purs. D'un autre côté, les poudres sont les moins chères et les plus pratiques surtout pour ceux qui utilisent de hautes doses. Une cuillerée à café de poudre contient déjà approximativement cinq grammes de Vitamine C. L'acide ascorbique sous forme de cristaux fins ou de poudre cristalline, emballé dans des pots bruns ou blancs opaques, reste stable indéfiniment et peut être stocké pendant des années.

Cette vitamine est tellement incroyable qu'il est fort probable qu'à hautes doses elle aurait la capacité de nous protéger même en cas de grippe aviaire. Il y a très peu de maladies ou de problèmes médicaux qui ne sont pas améliorés, tout au moins à un certain degré, avec un apport régulier et optimal en Vitamine C. Si tout le monde prenait régulièrement sa dose de cette vitamine, personne n'aurait à subir des «effets secondaires» suite aux vaccinations. Comme ces maladies ne se déclareraient plus, il ne serait plus nécessaire en effet de se faire vacciner. À ce jour aucun traitement à la Vitamine C utilisé pour des maladies infectieuses n'a été considéré comme dangereux ou inapproprié.

Rappelez-vous, l'important pour l'usage de la Vitamine C n'est pas une «overdose» (excès) mais plutôt une «underdose» (pas assez). Si aucune amélioration contre des maladies infectieuses en utilisant la Vitamine C n'est ressentie, c'est un signe qu'il faut absolument encore augmenter la dose aussi longtemps qu'il y a une réponse insuffisante et qu'il faut continuer la période de traitement jusqu'à ce que tous les symptômes cliniques disparaissent.

Oui, la Vitamine C en dose optimale réduirait l'utilisation de médicaments, le nombre de maladies et tant de souffrances inutiles. Il faut vous rappeler constamment que si vous prenez votre dose optimale de Vitamine C chaque jour de votre vie et si vous suivez les autres conseils de cet ouvrage, vous aurez la meilleure protection possible contre tout problème de santé. Pas la peine de chercher des solutions plus compliquées.

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