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Pépites arc-en-ciel

DANGERS

DES ADDITIFS

ALIMENTAIRES  ?

E123,..., E510, E513,....., E527... .

Nous avons tous vu un jour ce "E" suivit d'un nombre à 3 chiffres au dos d'un paquet de biscuit, sur le packaging d'une boîte de conserve ou d'un plat cuisiné. C'est de l 'information qu'un industriel est obligé de mettre afin de nous avertir des différents additifs alimentaires qu'il met dans sa préparation.

Mais qui sait ce qui se cache derrière ce code ?

Qui connaît aussi ce que sont exactement ces additifs ainsi imprimés sur les packaging ?

Sont-ils dangereux ou pas ?

Voici un petit décriptage et un petit éclairage afin que vous sachiez ce que vous mettez dans votre assiette.

IL VAUT MIEUX PREVENIR QUE GUERIR

   En 2015, Christophe Brusset, Ingénieur de haut niveau devenu dirigeant au sein de groupes internationaux, à 44 ans, il a décidé de « faire aujourd'hui son devoir » et de briser la loi du silence. Il publie un livre intitulé  « Vous êtes fous d’avaler ça ! » en réaction au scandale des lasagnes à la viande de cheval qui ont été un déclic pour lui: écoeuré au possible  il  révéle les dessous de certains produits de grande consommation.

Petit rappel des faits..

L'autorité britannique de sécurité alimentaire révèle en février 2013 que 60% à 100% du boeuf contenu dans des lasagnes de marque Findus est en réalité du cheval.

C'est une nouvelle qui risque de faire ruer dans les brancards les consommateurs anglais. Jeudi, l'Autorité britannique de sécurité alimentaire (FSA) a annoncé avoir découvert que les lasagnes de boeuf Findus contenaient plus de 60% de viande de cheval.
    
Sur dix-huit plats de lasagnes testés, fabriqués par le groupe français Comigel, onze contenaient ainsi entre 60% et 100% de viande de cheval.
    
"Nous n'avons pas de preuves qui laisseraient penser que cette nourriture présente des risques pour la santé. Cependant, la FSA a demandé à Findus d'effectuer des tests sur les lasagnes pour identifier la présence éventuelle de phenylbutazone", un médicament pour les animaux, a indiqué la FSA dans un communiqué.

Les lasagnes retirées des rayons

Les animaux soignés avec ce médicament sont interdits de consommation humaine, "parce que cela pourrait causer un risque pour la santé", selon l'Autorité.
    
Findus a entamé un retrait complet de ses lasagnes, et les consommateurs de ces pâtes à la viande ont été informés qu'ils ne devaient plus en manger. En outre, deux enseignes du Royaume-Uni ont retiré de leurs rayons toute une série de plats préparés produits par Comigel.   (Article de février 2013 par M. T. avec AFP.).

Il est certain, pour Christophe Brusset, que le consommateur ignore tout de ce qu’il achète et mange en grande surface, et cela va bien au delà de la composition de la viande dans des barquettes de lasagnes. Entre la moutarde française fabriquée en Chine, de la confiture de fraise sans fraise, du fromage sans fromage, du miel constitué uniquement de gelée au sucre, des industriels peu scrupuleux regorgeraient de stratagèmes pour embrouiller les acheteurs.

 

Ainsi, on (re)découvre que de très nombreux produits viennent d’Asie et sont simplement transformés (mélangés, emballés,…) en France, trompant le consommateur sur leur origine. Les appellations concernent souvent les recettes plus que l’origine même du produit, explique-t-il. En dehors de la traditionnelle utilisation d’eau, nombre d’éléments destinés à la poubelle vont se retrouver dans l’alimentation pour augmenter le poids des produits et donc les marges. L’homme va jusqu’à parler, à titre d’exemple, d’excréments de rats écrasés et mélangés avec certains piments. « Les industriels ont intérêt à maintenir le consommateur dans l’ignorance ».

Le steak haché de supermarché ! Peut-être qu’on y trouvera du bœuf ou bien du cheval, mais sûrement du gras, des raclures d’os (pudiquement appelées « viandes séparées mécaniquement »), du cartilage, des tissus conjonctifs, des matières fécales et d’autres non identifiables. Pareil pour le jambon premier prix à l’eau et aux additifs, ou des préparations fromagères pareillement artificielles.

Les mentions obligatoires qui ne sont pas valorisantes sont écrites le plus petit possible, dans un coin, au dos, en orange clair sur fond jaune… Pour faire simple, disons que la liste d’ingrédients est le minimum à regarder – ignorez les illustrations, les couleurs des paquets et les désignations trompeuses, les labels maison. La liste doit être courte, contenir des ingrédients naturels et aux noms facilement compréhensibles. S’il y a trop de « E » quelque chose ou de noms de molécules chimiques, passez votre chemin !

De plus tout n'est pas écrit. Et quand c'est écrit, c'est souvent incompréhensible pour le consommateur : E150, E110, E112... Même pour Christophe Brusset, il est difficile de savoir ce que l'on retrouve vraiment dans un produit préparé. Il y a une infinité de matières premières, d'additifs... et cela bouge sans arrêt. Vous savez ce qu'est de la « gousse de vanille épuisée » ?

Ce sont ces petits points noirs que l'on trouve dans les glaces, par exemple. Il s'agit d'une vanille moulue dont on a extrait l'arôme avec un solvant - l'hexane - un produit chimique cancérigène. Et ce résidu, qui est un déchet, on vous le met dans la crème glacée pour la rendre plus « authentique ». Les traces d'hexane n'apparaissent pas dans les ingrédients.

Des industriels trafiquent donc les produits en toute légalité , selon l'auteur.
Cela commence par l'utilisation massive d'additifs : pour épaissir, conserver, colorer, baisser les calories, faire croustiller...

Mais, plus on les étudie, plus on s'aperçoit qu'ils peuvent être dangereux.

Prenons le cas des colorants azoïques, cinq fois plus vifs et bien moins chers que les colorants naturels. Jusqu'au 10 juillet 2010, ces molécules « ne représentaient pas de danger pour la santé ». Désormais, elles peuvent « avoir des effets indésirables sur l'activité et l'attention chez l'enfant ». De quels « effets » parle-t-on et à quelle dose ? En attendant, les azoïques continuent à être utilisés, notamment en confiserie. Il suffit de le mentionner sur le paquet.

 

L'usage des additifs alimentaires permet surtout de baisser les coûts de production. Les additifs facilitent l'ajout d'ingrédients pas chers. Et le moins cher des moins chers, c'est l'eau. Lorsque vous fabriquez des produits qui peuvent en absorber - charcuterie, laitages, plats industriels, glaces, filets de poisson surgelés... -, vous avez tout intérêt à le faire pour gagner en productivité. Mais il faut ensuite ajouter des additifs pour stabiliser.

Par exemple, quand vous « gonflez » du jambon, pour que l'eau reste à l'intérieur, on injecte des texturants. Et, pour que le produit ait un peu de goût, il faut ajouter des arômes : « nature », « fumé », « aux herbes »... Et des colorants pour le rendre plus appétissant. Le produit est  plus lourd, donc plus cher, plus goûteux ect... juste en rajoutant de l'eau et des additifs.
 

Christophe Brusset sur Europe 1 le le 17 sept. 2015

LES ADDITIFS ALIMENTAIRES

   Si quelqu'un a bien mérité une réputation de "loup blanc" dans ce milieux, c'est bien Corinne Gouget  qui était connue pour son livre "Additifs alimentaires : attention danger".

Elle enquêtait depuis de nombreuses années sur les travers de l’alimentation industrielle, un combat qui ne plaisait pas à tout le monde.

Corinne Gouget s’était employée à répertorier puis à décortiquer chaque additif alimentaire utilisé par les industriels. Ce faisant, elle avait identifié leurs dangers pour l’Homme et avait entrepris de sensibiliser la population, en mettant les consommateurs en garde contre ces substances. Bien sûr, son travail lui valait d’être détestée par les professionnels du secteur.

La nouvelle de sa disparition, lundi 22 juin 2015, vers 22 h, , a eu l’effet d’une onde de choc parmi ceux qui la connaissaient. « Elle laisse à notre société l’empreinte d’une femme battante mais fragile, et lègue un travail remarquable en vidéos, écrits et conférences qui nous alertent sur les dangers cachés de l’alimentation industrielle », note par exemple son ami Michel Sebban pour lui rendre hommage.

Burger de viande et frites

DEFINITION

   Un additif alimentaire est une substance qui n'est pas habituellement consommée comme un aliment mais qui est additionnée, pour des raisons techniques, de préparation, de conservation ou d'emballage. On les reconnaît par la lettre "E" pour Europe suivie de 3 à 4 chiffres sur les emballage ou par leur nom chimique. Au total , on en recense 357 différents.

Et une personne peut en consommer jusqu'à 100 par jour car  les additifs sont partout. On les retrouve les boissons comme les jus de fruits ou les sodas, dans les friandises (chewing-gums ou bonbons), dans les laitages, les produits "light" allégé en sucre ou sans sucre, dans les plats cuisinés et même dans les médicaments, les vitamines etc...

Malheureusement il semble qu'un bon nombre de ces additifs ait des effets indésirables sur notre santé. Sans compter que l'administration autorise ces produits selon leur quantité unitaire dans chaque aliment sans tenir compte de deux aspects essentiels:

1/ de la quantité globale absorbée par un individu à travers toutes ses consommations journalière.

2/ que certains de ces produits seraient réactifs entre eux et de ce fait prendraient une valeur exponentielle qui ne serait peut être pas connue ou autorisée.

D'abord, il convient de les classer. Il existe de nombreuses familles d'additifs alimentaires. On peut ranger les principales ainsi:

Les colorants: qui vont du E100 au E180 qui servent essentiellement à attirer le    regard sur un produit, le rendre apétant pour aider à mieux le vendre. Cependant la plupart sont dangereux pour la santé.

Les  conservateurs: qui vont du E200 au E297.

Ces substances peuvent être :

- naturelles (minérales ou organiques provenant de la nature)

- artificielles (crées par l'homme et qui existe dans la nature)

- synthétiques et chimiques (crées par l'homme mais qui ne se retrouve pas dans la nature)

 

Les conservateurs alimentaires sont très utilisés dans le monde, pouvant être dangereux, leur utilisation est réglementée en France.

Les antioxydants: qui vont  du E300 au E337 et qui ont pour rôle d'empêcher l'oxydation des produits.

Les émulsifiants qui permettent de stabiliser les préparations, les exhausteurs de goût, les édulcorants de synthèse qui remplacent le sucre.

 

 

Plus de 25 000 arômes artificiels sans oublier les agents de lavage, de pelage, de démoulage,de solvant... qui ne sont pas toujours mentionnés sur nos étiquettes.

Pile de pilules

A ce jour, selon Corrine Gouget dans son livre "Danger: Additifs Alimentaires: Petit guide pour ne plus vous empoisonner" édition 2012, il y aurait :

 

77 additifs considérés comme inoffensifs à ce jour, comme  le E140 (chlorophylle, colorant vert naturel d'extrait de végétaux) ou comme le E331 (acidifiant citrates de sodium)......

104 additifs dont il vaut mieux s'abstenir de consommer car soit les études sont insuffisantes, soit les rapports sont contradictoires comme le E300 (acide L-ascorbique) qui consommé en trop grande quantité pourrait orovoquer diarrhées ou des calculs rénaux mais est considéré comme inoffensif si son absorbtion ne dépasse pas 10 mg.

Enfin, 169 aditifs sont à proscrire de son alimentation voire à éviter absolument. Les effets secondaires seraient nocifs pour la santé comme le E621 (glutamate monosodique ou GMS ) qui est un exhausteur de goût de synthèse et est considéré comme un neurotoxique qui a la capacité de détruire les neurones du cerveau.

Glutamate de sodium Glutamate monosodique, GMS

Le glutamate monosodique.

Vous ne connaissez peut être pas son nom mais vous l’avez forcément déjà croisé, et plus d’une fois. Le glutamate est un acide aminé naturellement présent dans le corps. Sa « version chimique » a été découverte en 1907, pour en faire un additif alimentaire.

Le glutamate se cache sous le nom de code E 621 et est un exhausteur de goût qui est très largement utilisé dans l’industrie agro-alimentaire. Les Japonais le considèrent comme la 7e saveur, après le sucré, le salé, l’amer, l’acide, l’astringent ou âpre et le piquant.

A quoi sert le glutamate ?

Avez-vous déjà eu la sensation de ne pas pouvoir vous arrêter de grignoter ces chips là, devant la télé ?

La faute au glutamate. Cette substance qui se présente sous la forme d’une poudre blanche renforce le goût des ingrédients présents dans l’aliment et agit comme un excitant sur les papilles et surtout, sur le cerveau.

Le glutamate opère comme le ferait n’importe quelle drogue sur le cerveau.

 

Dans son livre "Savez-vous vraiment ce que vous mangez ?", Laurence Wittner explique : « De l’avis des experts, les exhausteurs d’appétit agiraient sur les neurones, empêchant le bon fonctionnement des mécanismes inhibiteurs de l’appétit. En clair, plus on en mange, plus ils donnent faim, et plus on a envie d’en manger. »

 

Tandis que les partisans sont persuadés du caractère complètement inoffensif de cet additif, même en grande quantité, d’autres scientifiques voient par contre de graves risques, surtout pour le cerveau, où le glutamate compte parmi les médiateurs chimiques les plus importants.

En concentrations excessives, le glutamate déclenche un processus dit d'excitotoxicité, délétère, voire mortel pour les neurones, il existe des doutes sur les effets à long terme des doses faibles à modérées et des craintes supplémentaires quant à la vulnérabilité des enfants.

On le soupçonne depuis longtemps de jouer un rôle dans le développement de maladies neurodégénératives provoquant la destruction des cellules nerveuses, comme par exemple la maladie d'Alzheimer, de Parkinson, de Huntington, de la sclérose en plaques ou de la sclérose latérale amyotrophique.

Dérégulateur hormonal de la faim : Il est également soupçonné d'avoir une influence sur le cerveau en ce qui concerne la régulation de la faim et de la satiété . Des expériences ont montré que des animaux nourris au GMS avaient une préférence pour les carbohydrates, les aliments riches en protéines et en sucres, conduisant ainsi à une obésité de laquelle un retour est très difficile (perte du contrôle de l'appétit et du métabolisme, insensibilité aux leptines).

Les excitotoxines telles que les glutamates ou l'aspartame (E951) peuvent accélérer la progression d’un cancer et des métastases cancéreuses.

Quant à l'innocuité des glutamates naturels, le Dr. Russel Blaylock explique qu'ils sont liés et que l'organisme est à même de les métaboliser correctement et progressivement, tandis que les glutamates industriels qui sont libres et à forte concentration, peuvent amener le taux d'acide glutamique dans le sang jusque 20 à 40x la normale, il ajoute aussi que la barrière hémato-encéphalique n’est pas faite pour résister à de telles doses non naturelles.


Les différents nom du Glutamate Monosodique:

Pour mieux détourner notre attention, les gentils industriels ont donné plus de 20 noms au glutamate monosodique :

Glutamate Monosodique:


glutamate
acide glutamique
huile ou graisse végétale hydrogénées
protéines hydrogénées
gélatine
caséinates de sodium ou de calcium
levure rajoutée
extrait de levure
glutamate monopotassique
huiles de maïs
Extraits de malt
arômes de malt
arômes artificiels
arômes naturels
arômes naturels de porcs ou de poulet
extrais d’épices
protéines de blé
maltodextrine
sauce au soja
produits fermentés ou fortifiés aux protéines
acide citrique
sirop de maïs
arôme de caramel.

 


vestin
Aji-no-moto
protéines texturée
E330
carraghénane
extrait d'épice
maltodextrine
sauce soja

 

 

Bonbons Valentine

L'ASPARTAME

E951

   L'agence sanitaire européenne vient de remettre son rapport sur l'aspartame. Elle juge l'édulcorant sans danger pour la santé. Pourtant, l'aspartame fait l'objet d'une vive controverse depuis plusieurs années. Des études scientifiques avaient notamment démontré des risques d'accouchement prématuré ainsi qu'un taux plus élevé de cancers. Aujourd'hui, l'Efsa balaie toutes ces études alarmistes. Alors, finalement, l'aspartame est-il oui ou non dangereux ?

   L'aspartame c'est magique...

Vous le versez dans votre café pour le sucrer et miracle: vous consommez zéro calories. L'édulcorant a peut-être ce pouvoir miraculeux de diminuer notre apport calorique mais plusieurs études scientifiques ont aussi souligné son risque cancérigène. Notamment une étude menée à Bologne en Italie sur des souris: "La troisième étude publiée en décembre 2010 montre une augmentation des cancers du foie et des poumons chez la souris", explique le docteur Davide Degli Esposti, cancérologue à l'Institut de recherche sur le cancer à Bologne.


Aujourd'hui, l'Efsa conteste le résultat de ces études jugeant la méthodologie mauvaise et certaines tumeurs mal diagnostiquées. Mais l'agence sanitaire européenne est-elle vraiment objective? Certains doutent de la neutralité des avis rendus par l'agence. C'est le cas du socialiste Marc Tarabella, député européen: "À l'Efsa, l'indépendance des scientifiques n'est pas avérée. La directrice a du démissionner récemment à cause de ses liens avec l'industrie agro-alimentaire". Et il l'affirme, de nombreux scientifiques seraient en outre issus d'un institut financé par l'industrie agro-alimentaire.


Faut-il voir dans l'évaluation de l'Efsa une pression du lobby agro-alimentaire? Une chose est sure: l'aspartame s'est déjà répandu comme de la poudre partout dans notre alimentation. Or, il y a une dose à ne pas dépasser: 40 mg par kilo et par jour et moins encore pour les enfants: "Il ne faut pas oublier que ces produits continuent à habituer les gens aux goûts sucrés. Et que progressivement, s'ils ne prennent pas une limonade édulcorée, ils vont peut-être se tourner vers du chocolat, vers plus de produits sucrés, vont peut-être mettre plus de sucre dans le yaourt, etc.", explique Serge Pieters, diététicien et professeur à l'Institut Paul Lambin. "Ce n'est pas non plus éducatif", regrette-t-il.

Faux ou vrai sucre, peu importe. Finalement, l'essentiel est de s'habituer à un goût moins sucré.


Lucie Dendooven

UN PEU D'HISTOIRE...

L’aspartame a été découvert en 1965, par hasard, par James Schlatter, un chercheur chimiste de la société Searle qui travaillait sur un traitement de l’ulcère. En essayant de synthétiser la gastrine, une hormone digestive, il obtient un produit intermédiaire, qu’il goûte accidentellement en léchant son doigt avant d’attraper une feuille de papier. Il découvre alors avec stupéfaction que la substance, pourtant uniquement constituée d’acides aminés (i.e. des morceaux de protéines), a un goût sucré.

drapeau américain en agitant
Image de Dmitry Demidko

Quelques années plus tard, la société Searle saisit l’opportunité de cette découverte révolutionnaire, et fait une demande d’autorisation de mise sur le marché auprès de la FDA, l’autorité de régulation américaine des denrées alimentaires et des médicaments. En juillet 1974, l’édulcorant est autorisé à être mis sur le marché, mais dès l’année suivante, l’autorisation est suspendue face à des doutes sur un potentiel cancérigène, présenté par certains chercheurs.

En 1976, la FDA décide d’enquêter sur les pratiques du laboratoire Searle, et saisit la justice qui ne donnera pas de suite au dossier. Plus tard en 1979, la FDA nomme une commission indépendante pour évaluer l’aspartame. Celle-ci signale un possible effet carcinogène à partir d’études menées chez le rat, et se prononce contre l’autorisation de commercialisation en attendant de nouvelles études.

En 1981, un nouveau président est nommé à la tête de la FDA par une équipe gouvernementale, dont un de ses membres n’est autre que le Président de Searle, et dont le nom ne vous est probablement pas inconnu : Donald Rumsfeld.

Quelques mois plus tard, la FDA décide d’autoriser l’aspartame, ce qui accentuera encore la méfiance… Pourtant, cette autorisation s’est faite avec l’aide des résultats d’une étude indépendante japonaise, qui concluait à l’absence d’effet cancérigène de l’aspartame chez le rat.

En 1985, la société Searle est rachetée par Monsanto, ce qui achève de ternir l’image de l’édulcorant auprès du grand public et de certaines associations.

boutons de vote sur le drapeau

UNE DROGUE 100% CHIMIQUE ?

   Cet historique est un peu long mais il le mérite de montrer l'accouchement d'un produit relativement contreversé où la précaution sanitaire a été sacrifié sur l'autel du buisness et du carriérisme personnel.

L'aspartame est composé de phénylalanine (50 %), d'acide aspartique (40 %) et d'ester de méthyle (10 %) qui se transforme rapidement en alcool méthylique après ingestion.

Suite à leur dégradation métabolique, ces molécules se modifient en plusieurs sous-produits neurotoxiques, dont le formaldéhyde (ou méthanal, ou aldéhyde formique) qui entraînent la mort des cellules synaptiques (terminaisons qui transmettent l'influx nerveux dans le cerveau) par sur-stimulation, un peu comme le fait la cocaïne, et induisent une grave dépendance avec phénomène de sevrage intense pour les grands consommateurs d'aspartame qui tentent d'arrêter d'en consommer.

Ce produit modifie le taux de dopamine dans le cerveau. Imaginez l’effet de cette drogue chez des patients atteints de la maladie de Parkinson. Cette drogue cause aussi des dommages au niveau des naissances.

L’aspartame rend le niveau de sucre dans le sang incontrôlable, mettant ainsi beaucoup de patients dans le coma. Malheureusement beaucoup d’entre eux sont morts. Des personnes nous disaient, lors de la Conférence de l’Ordre des Médecins Américain, qu’ils avaient des proches qui sont passés de produits à la saccharine à des produits contenant de l’aspartame et que certains étaient tombés dans le coma.

Quand la température de l’aspartame dépasse les 30°, l’alcool méthylique ou esprit-des-bois contenu dans l’aspartame se transforme en formaldéhyde puis en acide formique qui, à son tour, cause l’acidose métabolique (l’acide formique est le poison administré par les piqûres de fourmis rouges). L’intoxication au méthanol reproduit les symptômes de la sclérose en plaques, de là, des erreurs de diagnostic parmi les diagnostics de sclérose en plaques.

Le Dr. Russell Blaylock, neurochirurgien, a déclaré : ″Ces ingrédients stimulent le cerveau à mourir, causant des dommages de degrés variés au cerveau.″ Le Dr R. Blaylock a écrit un livre intitulé « Excito-Toxines : Le goût qui tue » (Health Press 1-800-643.2665)

Le Dr H. J. Roberts, diabétique, spécialiste et expert mondial de l’empoisonnement par l’aspartame, a lui aussi écrit un livre, qui est intitulé : ″Défense contre la maladie d’Alzheimer″.

Le Dr Roberts y raconte comment l’intoxication à l’aspartame aggrave la maladie d’Alzheimer, et pour cause. ″Comme me l’a confié l’infirmière de l’hospice, des femmes âgées de 30 ans sont admises avec la maladie d’Alzheimer″. Le Dr. Blaylock et le Dr. Roberts vont rédiger un article sur la situation présentant quelques cas et le feront paraître sur Internet. D’après la Conférence du Conseil des Médecins Américain : ″Nous parlons d’un fléau de maladies neurologiques causé par ce poison mortel″. Le Dr. Roberts a déclaré que ses patients diabétiques présentaient des pertes de mémoire, des confusions et de graves troubles visuels.

La Maladie de l’Aspartame est une des causes qui se cachent derrière les troubles de la santé apparus lors de l’opération ″Tempête du Désert″ ! La langue brûlante et autres troubles observés dans plus de 60 cas peuvent être directement liés à la consommation d’aspartame. Plusieurs milliers de palettes de boissons ″light″ ont été acheminées aux troupes de l’opération ″Tempête de Désert″ (souvenez-vous que la chaleur peut libérer le méthanol de l’aspartame à 30°). Les canettes de boisson light ont séjourné sous les 40° du soleil arabique pendant des semaines entières sur des palettes. Les hommes et femmes en service en buvaient toute la journée. Tous leurs symptômes sont identiques à ceux de l’empoisonnement par l’aspartame.

Une étude sur près de 60.000 Danoises enceintes, parue fin 2010 dans l’American journal of clinical nutrition, fait valoir que la consommation d’au moins une boisson gazeuse contenant un édulcorant augmente en moyenne de 38 % les risques de naissance avant terme. L’augmentation des risques est de 27 % si l’on n’en boit qu’une par jour, 35 % si l’on en boit 2 ou 3, 78 % quand c’est plus de 4.

CE QUE MONTRENT CERTAINES ÉTUDES

Selon les recherches menées sur le sujet, l’aspartame attaquerait le système nerveux et favoriserait le développement de cellules cancérigènes.  Il crée également des conditions favorables pour le développement de maladies telles que la sclérose en plaques, la dépression, le diabète, l’arthrite, l’épilepsie, la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson.

 

Alors que la plupart des produits nocifs ont des effets immédiats, l’aspartame s’accumule lentement dans le corps pour ensuite perturber le cerveau et le système hormonal.

 

L'aspartame fait partie des excitotoxines. Ces excitotoxines sont neurotoxiques, c'est-à-dire qu'elles ont capacité de détruire rapidement les neurones du cerveau en les excitant jusqu'à ce qu'ils explosent.

 

L'aspartame se décompose dans les liquides chauds en méthanol qui se décompose lui-même en formaldéhyde, en acide formique et en dikétopipérazine, trois produits vecteurs des tumeurs cérébrales.

 

L'aspartame agit comme neurotransmetteur dans le cerveau en facilitant la transmission de l'information entre les neurones. Trop d'aspartame dans le cerveau détruit certains neurones en autorisant l'invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules.

 

L'acide aspartique – pris sous sa forme libre (non relié aux protéines) – élève d'une façon significative le niveau de plasma sanguin en aspartame. L'excès d'aspartame dans le plasma sanguin peu après son ingestion, provoque une élévation du niveau de ces neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau.

 

Les risques, encourus par les nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées et les personnes avec des problèmes de santé chroniques, causés par les excitotoxines sont grands.

 

Une étude de l’Université du Dakota du Nord, publiée dans Research in Nursing & Health en juin 2014, a testé les limites “saines“ de consommation d’aspartame consommée sur une courte période de temps.

 

Les chercheurs ont découvert qu’en ingérant ne serait-ce que la moitié de la consommation journalière saine selon les standards de la FDA, l’aspartame causait des changements neuro-comportementaux alarmants, allant de la déficience cognitive à la dépression, en passant par une irritabilité prononcée.

 

L’étude a été conduite en recrutant 28 étudiants universitaires sains pour 4 semaines de test. Les participants ont reçu 3 repas par jour et 2 en-cas pendant 8 jours. Les repas étaient prévus pour contenir soit un taux élevé d’aspartame (25 mg/kg par personne et par jour), soit un taux réduit d’aspartame (10  mg/kg par personne et par jour).

 

Après les 8 premiers jours, les participants ont débuté un régime neutre de 2 semaines, et ont ensuite inversé leurs régimes d’aspartame avec l’autre groupe. Les nourritures contenant de l’aspartame étaient des yaourts, des crèmes glacées, des gelées et sirops, des gélatines, des boissons et des desserts.

 

L’aspartame provoque une déficience cognitive

 

Les chercheurs ont conclu que les capacités d’orientation spatiale étaient réduites de manière significative chez les participants ayant suivi un régime à haute teneur en aspartame par rapport aux participants ayant consommé moins d’aspartame. Ceci confirme les résultats d’une étude antérieure sur 90 étudiants universitaires qui avait mis en évidence que les consommateurs d’aspartame rapportaient des troubles de la mémoire plus sévères que les étudiants qui ne consommaient pas ce produit chimique.

 

L’aspartame provoque la dépression et une humeur irritable

 

Dans l’étude aucun étudiant n’a rapporté de signes de dépression après avoir consommé des mets à faible teneur en aspartame. Cependant, l’autre groupe, qui consommait des repas à haute teneur en aspartame, a démontré des signes clairs de dépression. Les participants de ce groupe ont par ailleurs démontré une certaine irritabilité.

 

 

Les chercheurs ont estimé que ces résultats corroboraient les conclusions d’une étude antérieure, en double aveugle, randomisée et croisée, qui avait démontré que la dépression était liée à l’aspartame. Cette étude concernait 40 participants souffrant de dépression et 40 participants ne souffrant pas de dépression, et ces derniers ont reçu des doses même plus élevées d’aspartame dans leur régime (30 mg/Kg par personne et par jour) ou du sucre de pâtisserie. De manière assez surprenante, l’étude a dû être arrêtée plus tôt que prévu car les patients souffrant de dépression ont rapporté plusieurs réactions sévères à l’aspartame.

 

Ces chercheurs ont remarqué que c’est en fait la composition chimique de l’aspartame qui est en partie responsable de ses effets sur le cerveau. L’aspartame est métabolisée et génère de l’acide aspartique – connu comme étant un neurotransmetteur excitant –, de la phénylalanine et du méthanol. Le méthanol se sépare, une fois dans le corps, en formaldéhyde.

 

D’autres chercheurs ont découvert un lien entre l’augmentation substantielle de phénylalanine et d’acide aspartique, et la réduction de la production de dopamine et de sérotonine à la suite de l’ingestion d’aspartame.

 

Ces chercheurs expliquent qu’il y a relativement peu d’études cliniques jusqu’à présent qui mesurent les effets neuro-comportementaux à court terme de la consommation d’aspartame. Il est nécessaire d’effectuer davantage de recherches, surtout sur les effets à long terme de l’utilisation quotidienne d’aspartame.

Ne sachant pas à quoi s'en tenir concernant l'aspartame, le meilleur conseil pouvant être donné serait sans en stopper la consommation, tout du moins de la limiter afin d'appliquer le principe de précaution. La réaction suite à la consommation d'aspartame peut différer d'une personne à l'autre et si l'aspartame provoque chez un consommateur une réaction d'intolérance quelle qu'elle soit, il lui est conseillé d'éviter cette substance dans l'avenir.
Le coca light m'a tué : dangers de l'aspartame
Corinne Gouget, interview sur les additifs alimentaires et l'aspartame
Corinne Gouget - "Danger dans nos assiettes, l'interview"

LE FLUOR

   Le fluor.... Lui aussi nous le croisons quotidiennement et le retrouvons dans notre alimentation. Lui aussi est largement contesté par une partie des scientifiques et pourtant on ne nous a jamais réellement mis en garde contre ce produit !
 

UN PEU D'HISTOIRE

   La première fois que de l’eau potable a été fluorée, c’était dans les camps de concentration de l’Allemagne nazie. La Gestapo ne pensait pas aux présumés bienfaits du fluor sur les dents des enfants. Du fluorure de sodium était ajouté à l’eau afin de rendre les humains stériles et forcer les prisonniers des camps de concentration à demeurer dociles. (Source : « The Crime and Punishment of I.G. Farben » – Le crime et la sentence de I.G. Farben de Joseph Borkin).

Voici une lettre qu’un chimiste nommé M. Charles Perkins a envoyé à la Lee Foundation for Nutritional Research (Fondation Lee pour la recherche en nutrition) de Milwaukee, Wisconsin, le 2 octobre 1954 :
 » Dans votre lettre du 29 septembre, vous me demandiez plus de documentation sur une déclaration que j’ai faite dans mon livre « The Truth About Water Fluoridation » (La vérité sur la fluoration de l’eau), comme quoi ce serait le communiste russe Kreminoff qui aurait importé en Angleterre l’idée d’ajouter du fluor à l’eau.

Dans les années 1930, Hitler et les Nazis envisageaient d’imposer une philosophie nazie de pangermanisme au monde entier. Les chimistes allemands avaient mis au point un plan très ingénieux de grande portée permettant de contrôler la masse. Ils l’ont présenté à l’état-major allemand et il a été adopté. Ce plan consistait à contrôler la population de n’importe quel endroit en contaminant les réserves d’eau potable. De cette façon, ils pouvaient, entre autres, contrôler la population de régions entières et réduire la population en ajoutant des substances à l’eau causant la stérilité chez les femmes. Dans ce projet de contrôle de la population, le fluorure de sodium occupait une place de choix.  » .

L’ingestion régulière de quantités infinitésimales de fluor réduit la capacité d’une personne à résister à la domination en empoisonnant et en intoxiquant lentement une certaine partie du cerveau. Cette personne devient donc soumise à la volonté de ceux qui désirent la gouverner.  » (Une lobotomie légère pratique).


Même en petites quantités, le fluorure de sodium est un poison mortel contre lequel aucun antidote efficace n’a été trouvé. Tous les exterminateurs savent qu’il est la substance la plus efficace pour tuer les rats. … Le fluorure de sodium est complètement différent du fluorophosphate de calcium organique fourni par la nature, dont notre corps a besoin pour bâtir et renforcer nos os et nos dents.

Ce fluorophosphate de calcium, lorsqu’il provient des aliments appropriés, est un sel organique comestible qui ne se dissout pas dans l’eau et qui peut être facilement assimilé par le corps humain, tandis que le fluorure de sodium non organique utilisé pour fluorer l’eau est un poison instantané pour le corps et il est complètement soluble dans l’eau. Le corps refuse de l’assimiler.
 

Selon les chimistes, les mélanges d’eau et de fluorure de sodium sont les plus efficaces et les moins coûteux pour tuer les rats : sans couleur, sans odeur, sans goût ; pas d’antidote, pas de remède, pas d’espoir : une extermination complète et instantanée des rats. La fluoration de l’eau peut être un suicide national lent ou une liquidation nationale rapide. C’est de la folie criminelle. Une trahison !  selon E.H. BRONNER, Ingénieur chimiste, Los Angeles.

LIEN ENTRE FLUOR ET ALUMINIUM

Le fluor est un des principaux dérivés de la fabrication de l’aluminium. Il a fallu rechercher des débouchés lucratifs à ces déchets fluorés. Le lobby industriel et financier a alors financé des études attestant l’innocuité des produits fluorés ainsi que leurs effets bénéfiques à faible dose qui ont été mis en valeur. Il en a été de même de l’aluminium.

L’Express (n° 2482, février 1999), se veut rassurant quand il affirme sous la plume de Vincent Olivier :« Il faut être clair : on ne risque pas de mourir en buvant de l’eau du robinet  ». Mais quel crédit accorder à un magazine sous la propriété de Havas, absorbée elle-même par la Compagnie Générale des Eaux (devenue Vivendi le 15 mai 1998).

Comment ne pas s’interroger sur la possibilité que la fluorisation généralisée ne soit qu’une forme de contrôle social, de par l’effet sédatif qu’elle engendre.

Les intérêts en jeu dans cette affaire sont énormes, les effets sanitaires et psychiques ne le sont pas moins.

Le fait que l’utilisation du fluor et de l’aluminium ne cesse de se développer depuis les années 50, et cela dans l’indifférence générale malgré les nombreux avertissements lancés par des personnes qualifiées en la matière, prouve bien l’efficacité de l’effet annihilant du fluor sur l’esprit critique de tout à chacun.

Le maintient du statu quo grâce à la désinformation sur des sujets aussi importants alimente l’apathie de la masse somnolente, ce qui ne fait que servir les intérêts de ceux qui détiennent le pouvoir, qu’il soit économique ou politique.

Présence d'aluminium (entre autres) dans les Chemtrails
tandem Skydive

On a pu voir, l’année dernière, dans l’actualité, des avertissements quant à des contenances d’aluminium à des doses dépassant de 30 fois la norme dans l’eau de nos robinets. Ces avertissements étaient le fruit d’une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). L’INSERM avait déjà communiqué les premiers résultats de ses recherches en 1994 et en 1996.

Toutes ces mises en garde sont restées lettre morte. Pourtant l’aluminium est un neurotoxique qui peut être à l’origine de démences dégénératives, de fragilisations osseuses ou d’accidents cardiaques, car il s’accumule dans le cerveau, les os et les muscles. Le nombre de malades d’Alzheimer est proportionnel à la quantité d’aluminium dans l’eau potable.

La présence d’aluminium dans l’eau du robinet est le résultat de l’utilisation de sulfate d’alumine, dans les stations d’épuration, au moment de l’opération dite de « floculation » qui vise à purifier l’eau de certaines impuretés, des particules argileuses notamment.

fluor + aluminium= !!!!!!!!

LE FLUOR... INTOXICATION & DESINFORMATION ?

   Le fluorure de sodium est donc un produit chimique artificiel. Sa très grande toxicité fait que son commerce est limité.
On l’emploie dans la fabrication du poison à rats, comme agent de blanchiment, comme coagulant du caoutchouc, comme fixateur de teintures, etc.

Ces débouchés du fluorure de sodium sont largement insuffisants. Des stocks considérables de ce poison s’accumulaient, d’autant plus que les autorités gouvernementales empêchaient les compagnies de déverser ce poison dans les rivières car les poissons mouraient.

Ne pouvant en vendre suffisamment et ne pouvant s’en débarrasser facilement, il fallait donc trouver un autre débouché pour le fluorure de sodium.
Le problème fut soumis, comme c’est la coutume dans l’industrie, à un organisme spécialisé dans la recherche de solutions.
On confia donc à la «Mellon Institute» de Pittsburgh le soin de trouver une solution au problème du fluorure de sodium.
La «Mellon Institute», fondée en 1911 par Andrew et Richard Mellon est un laboratoire de science appliquée, ouvert à tous les hommes d’affaires américains.
Lorsqu’un industriel ou un manufacturier a des problèmes , il s’adresse à l’Institut et emploie un scientiste pour un an. Le travail de ce dernier consiste à améliorer le produit ou encore à y trouver un nouveau débouché.

Or, à cette époque, le trust de l’aluminium appartenait secrètement à la «Maison Rockefeller»; 25 ans plus tôt il avait appartenu à Andrew Mellon de Pittsburgh; à sa mort, La Maison Rockefeller s’en empara discrètement, niant officiellement toute connexion avec l’Alcoa par l’entreprise de son agent de presse; cependant le «Manual of Industrials» et le rapport annuel du Rockefeller’s Council of Foreign Relations rapportent que le gendre de Andrew Mellon, qui fait partie de la «Maison Rockefeller» possède avec sa femme la plus grosse part des fonds de l’Aluminum Company.

Pour accroître le contrôle de Rockefeller aux assemblées du conseil d’administration de l’Alcoa, DonaldK.
David, un homme de paille du Rockefeller Institute, avait été nommé un des directeurs.

Les ingénieurs des ventes de Rockefeller découvrirent rapidement que si le fluorure de sodium pouvait être vendu seulement à 1,5 cent la livre, il s’ensuivrait un profit de $15,000,000 par année pour la compagnie.Aussi l’annonce de Cox fut elle accueillie avec enthousiasme!

Aussitôt les grosses têtes du Rockefeller Center se mirent au travail pour préparer une immense campagne de fluoration de l’eau potable des 16,750 municipalités américaines.


L’opération fut déclenchée vers 1945. En 1944, Monsieur Oscar Ewing est soudainement un important salarié de l’Alcoa.

Or, quelques mois après, ce Monsieur Ewing est nommé administrateur de la Federal Security Agency devenue depuis le Département fédéral de santé des États Unis. Ewing reçut $750,000 pour une raison qui ne fut jamais dévoilée, même après que le membre du Congrès Al. Miller du Nébraska ait réuni les faits concernant ce don et soumis son rapport au Congrès.L’US Public Health Service qui avait été placé sous la juridiction de la Federal Security Agency de Ewing par le Congrès, lança une vaste campagne de promotion à travers tous les États Unis.

Sous l’administration d’Ewing, d’énormes budgets sont votés, on verse des millions de dollars aux collègues médicaux et dentaires, et en 1951, il demande et obtient deux millions de dollars pour promouvoir l’idée de la fluoration des eaux potables.

Une des premières actions entreprises fut d’établir un test dans deux villes pilotes, Newburgh et Kingston.

L’eau de Newburgh fut fluorée, l’eau de Kingston ne le fut pas. L’U.S.P.H.S. annonça que dans 5 ans ils examineraient les dents des écoliers des deux villes et que la fluoration aurait réduit la carie dentaire de 50%.
Les résultats du test furent embarrassants pour les promoteurs du fluor: une enquête préliminaire effectuée par l’U.S.P.H.S. démontra que, dans la ville fluorée, il y avait beaucoup plus de caries dentaires que dans celle où l’eau
était restée pure.
Aussi ils tentèrent de laisser tomber le sujet, en espérant qu’il n’en serait plus jamais question.
Malheureusement le département de l’Éducation de l’État de N.Y. ne l’entendait pas de la même manière; les médecins attachés à leurs écoles furent commissionnés pour examiner les dents des enfants des deux villes:

et voici leurs résultats:

Robinet

Donc après 4 ans, les statistiques prouvaient que la fluoration causait 50% plus de troubles dentaires que la non fluoration.
Et comme si ce n’était pas suffisant, à peu près à la même époque, le Département de Santé de la Ville de Newburgh publiait son rapport annuel qui enregistrait une hausse de 50% dans le nombre des maladies cardiaques et autres maladies des organes à tissu mou.

En octobre 1954 le docteur Charles Iperkins rend son rapport au service de nutrition aux états unis ou il met en évidence que I g farben filière de Standart Hoyle appartenant aux Rockefeller(Alcoa) utilise le fluor dans l’eau de consommation des prisonniers des camps de concentration afin de réduire leur révolte et de diminuer la fertilité.

Voyez que le fluor n’a rien de bon pour l’organisme cela est prouvé même en trés petite quantité ; nous en retrouvons dans différents aliments de consommation en France notamment dans le sel , le thé , le dentifrice , et bien sur dans certains médicaments comme le Prozac ( une étude a d’ailleurs était menée sur le prozac et a mis en avant qu’il y a un fort nombre de suicides du a la prise de celui ci )!

Il est également prouvé que la consommation de fluor peux développer plusieurs maladies comme la fluorose qui détruit la matière des dents mais aussi l’hyper calcification des os qui rend les os cassant comme le verre .


En France nous avons la chance de ne pas avoir de fluor dans l’eau mais ce n’est pas le cas de tous les pays .

N’oubliez pas que le fluor aujourd’hui est actuellement utilisé dans les composants des insecticides ,dans l’industrie atomique , mais aussi dans certaine drogue comme le rohypnol qui est considéré comme la drogue des violeurs.

Alors le Fluor est-il dangereux pour la santé ?

   ll faut savoir que toutes les intoxications par le fluor génèrent des troubles psychiques graves pouvant conduire à la perte de la volonté, voire de la folie, surtout lorsque cette intoxication se produit pendant la phase de croissance.

Ce n’est pas pour rien que l’eau de boisson ne doit absolument pas dépasser un seuil critique de fluor pour être potable.

D’autre part, rappelons que « le fluor désorganise la structure minérale des dents et de l’ossature, favorisant des microfractures au niveau du squelette »… Il agit lentement et en profondeur et favorise ainsi les scolioses, les cyphoses, l’hyperlaxité ligamentaire et la dégénérescence accélérée de l’organisme (Source : « des clefs pour vivre » du Docteur Alain Scohy).

Sur le site internet de Project Censored, nous trouvons encore des infos passionnantes sur ce thème, notamment que des documents gouvernementaux, longtemps restés secrets jettent un rayon de lumière sur le débat concernant la fluoration de l’eau potable et ajoutent aujourd’hui un grand nombre de preuves scientifiques concernant les effets du fluor sur la santé.

 

Ainsi, dans les années 1940, les scientifiques du Manhattan Project considérait qu’à faible dose le fluor ne comportait aucun risque pour l’organisme. On sait aujourd’hui que les chercheurs avaient reçu l’ordre de cacher les preuves des dangers du fluor et ses taux de toxicité pour éviter d’être poursuivi en justice par les victimes. (source : www.sonoma.edu/projectcensored)

A l’automne 99, le Earth Island Journal publiait une info selon laquelle le chirurgien dentiste Hardy Limeback, Pdt de l’association des dentistes canadiens annonçait qu’il n’était plus en faveur de la fluoration de l’eau potable et que l’absorption de fluor présentait très peu d’intérêt pour les dents, à supposer même qu’elle en présentât un et qu’aujourd’hui les risques l’emportent sur les bénéfices, puisque le fluor a un effet néfaste sur les dents et les os.

Le Téflon ou Tefal qui recouvre le fond de votre poêle à frire est du PTFE, c’est à dire du Polytétrafluoréthylène, c’est à dire une « résine fluorée » ou du fluor mélangé à du plastique. (source Paul Caldwallader)

Dans « Secrets toxiques : Le Fluor et le programme de la Bombe A », les journalistes C. Bryson et J. Griffitns écrivent:      « la preuve que le FLUOR est inoffensif pour les êtres humains à faibles doses a été en grande partie fabriquée par des scientifiques qui travaillaient sur le programme de la bombe A et qui avaient des ordres du gouvernement US de fournir, en cas de litiges des preuves à opposer au cas où le Fluor provoquerait des dommages aux citoyens ».

Selon Nina Silver, c’est effectivement, de manière indésireuse que le fluor a été introduit sur le marché et vanté comme agent de prévention des caries dentaires. Malgré tout il faut savoir que le fluor servait d’élément important à la fabrication des bombes A pendant la guerre, et que d’autre part, le fluor est un sous produit des industries de l’aluminium et des pesticides. Les fermes qui se trouvaient à proximité des usines fabriquant le fluor avaient des récoltes brûlées et flétries, et des animaux toujours malades. Les ouvriers eux-mêmes travaillant à l’usine avaient de dangereuses concentrations de fluor dans le sang.

Dans « Union News » tirage à part du Washington Post du 25/07/97, l’article « votre dentifrice est-il sûr » cite cette phrase de Regine Miskewitz, directrice de la recherche des cosmétiques et soins de bouche chez ARM et AMMER « quand je reçois du fluor, ici, il porte la tête de mort et les tibias croisés ».

 

Un autre témoignage enfin, celui de John Yiamouyiannis. « le fluor : facteur de vieillissement ».

(Fluoride : the Aging Factor, (1986) dans cet ouvrage qui eut un gros succès, l’auteur, biochimiste, décrit les effets nocifs et dévastateurs du fluor dans le monde entier, ceux d’un dangereux poison. Dans son livre, il cite de nombreux cas d’enfants présentant de graves symptômes ou ayant même trouvé la mort après ingestion de fluor sur le fauteuil du dentiste. Il cite les recherches menées dans divers pays (URSS, Japon, Af. du Sud, USA,…) par un grand nombre de chercheurs qui tous ont mentionné les défectuosités génétiques et les maladies imputables au fluor. Et le fluor n’est pas seulement présent dans le dentifrice, mais aussi dans l’eau de boisson.

Dans toutes les villes des USA, l’augmentation de la teneur de l’eau potable en fluor a correspondu à une augmentation de la mortalité par cancer du foie, cancer des os, et tumeurs des cellules squameuses de la bouche ;
autres méfaits :

convulsions, os douloureux, éruptions cutanées, problèmes gastro-intestinaux, nausées et vomissements.Source: Amessi

Nous sommes en fait surexposés au fluor

  •    la majorité des eaux en bouteilles

  •    les dentifrices, selon les marques.

  •    certains sels de table  contiennent du fluor.

  •    les poêles à frire en téflon ou téfal. Leur revêtement n’est rien d ‘autre

qu’un mélange de fluor et de matière plastique…

  •    les laits maternisés et autres produits conseillés aux mamans quand elles

quittent la maternité, sous forme de compléments en comprimés ou en gouttes.

  •    les anti-dépresseurs du genre Prozac et autres.

  •    les produits d’hygiène dentaire vendus aux particuliers (bains de bouche

par exemple),  ou utilisés par les dentistes eux-mêmes.

  •    les chewing-gums qui contiennent du fluorure de sodium.

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